Comment concocter une séance d’EPI ?

Sur Terre, on estime le nombre d’espèces animales et végétales à environ dix millions dont seulement 20% ont été identifiées. L’étendue de notre ignorance donne ici le vertige. Cette nouvelle rubrique baptisée «Humains et associés» vise simplement à en grignoter d’infimes parcelles.

Aux Jeux de Rio défilera une délégation constituée uniquement de migrants. L’équipe olympique des réfugiés existe depuis les Jeux de Rio en 2016 et, en la matière, l’histoire a surtout retenu un nom: Yusra Mardini.

Elle toucherait 150 millions de femmes dans le monde et se révèle parfois insupportable au point d’abréger des carrières sportives. On ne sait vraiment ni la diagnostiquer, ni la soigner. Quelle est cette maladie? L’endométriose. Un mal que l’exercice pourrait néanmoins soulager.

On dit souvent qu’il y a autant d’endométrioses différentes que de personnes atteintes. Cela n’empêche pas de s’inspirer de l’expérience des unes et des autres, notamment de celles qui parviennent à marier tourments de la maladie et activité sportive.

Certaines polémiques sanitaires semblent ne jamais rendre leur verdict. C’est le cas de l’aspartame qui divise toujours autant ceux qui le considèrent comme un inoffensif édulcorant et ceux qui en parlent comme d’un véritable poison.

L’ancienne rubrique «Le Coin des Pardessus» est elle aussi rebaptisée. Elle s’appellera désormais «c’est l’économie, idiot!» en référence à «It’s the economy, stupid!», la célèbre expression prononcée en 1992 par James Carville, un conseiller de Bill Clinton, et sur laquelle ce dernier bâtit sa stratégie pour se faire élire à la Maison-Blanche. «It’s the economy, stupid!» signifie en clair que tout tourne toujours autour du pouvoir de l’argent.

La récente panthéonisation des époux Manouchian est entrée en résonance avec l’actualité sportive grâce aux excellents résultats d’un club de foot parisien... très résistant lui aussi!

Dans nos sociétés, aucune hormone ne rivalise d’importance avec la testostérone. Pas seulement dans le sport, du reste. On la rend aussi responsable de notre apparence physique et de nos comportements. Petit problème! On est pratiquement incapable de la doser correctement.

En marge des entraînements en salle, les poudres de protéines sont extrêmement prisées de tous ceux qui veulent prendre de la masse musculaire. Pour beaucoup de nutritionnistes, cette stratégie ne rime à rien! Qui a tort? Qui a raison?