Amos Oz, l’adieu aux armes

Dans un récit touchant, Michèle Audin libère son père Maurice des geôles de ses tortionnaires pour le rendre à la lumière de la vie qui fut la sienne.

Toujours à la tâche à 92 ans, Jean Starobinski vient de publier trois ouvrages : deux traversées des œuvres de Rousseau et de Diderot, et L’Encre de la mélancolie qui rassemble les écrits qu’il a consacrés à l’humeur noire.

Un chat contemple la vie des hommes et réinvente la métaphysique. Une comédie réjouissante du prometteur Rasmus Lindberg.

Habitué aux projets d’envergure et passé maître dans l’art du contre-pied éditorial, l’inventif Tristram lance sa collection économique « Souple », au rythme de douze titres par an. Nouveau pari.

Autour des figures lascives ou surnaturelles du cinéma, paraissent quatre sommes d’érudition énamourée.

L’expérience des pionniers a chargé l’œuvre de l’écrivain israélien d’un caractère qui lui est propre. Soucieuse d’atteindre à l’âme et au cœur, elle interroge aussi l’homme en s’impliquant dans sa destinée collective.

Convoquant, entre autres, les figures de Van Gogh, Pialat, Nougaro et d’une Madame G., Yves Charnet est parti faire un tour du côté de La Charité-sur-Loire. Son Guermantes et sa vie.

Frédéric Roux nous montre que le plus grand des boxeurs fait aussi un formidable héros de roman.

Le nouveau roman de Christian Garcin a foi en la fiction. Le lecteur s’y perdra avec délices, ballotté à nouveau dans un univers où les souterrains font des galeries diablement romanesques.

Dans ce douzième volume traduit, l’Espagnol Javier Tomeo fait communiquer deux éclopés sur le chemin de la vie. Pour fuir le silence.

À la fois fresque et mosaïque, l’essai de Yves Cohen nous livre « une histoire transnationale du commandement et de l’autorité ».

Bousculant les frontières entre sciences, littérature et métaphysique, Philippe Forest s’empare d’un paradoxe quantique pour pénétrer la réalité sous un angle inédit.