Les grandes femmes

Alors que tout semble perdu pour les Armagnacs, partisans du Dauphin Charles VII, une jeune femme, originaire de Lorraine, vient renverser la situation.

Ces femmes qui ont gouverné la France

L'affaire du collier

Était-elle une femme frivole ?

Avec son époux Pierre Curie, elle incarne un couple scientifique légendaire. Elle reste la seule femme à avoir obtenu 2 fois le Prix Nobel pour ses travaux sur la radioactivité et le radium qui ont bouleversé la recherche médicale.

Tout au long de sa vie, Colette a coiffé de nombreuses casquettes (elle qui aimait tant porter la cravate) ! Femme enfant, séductrice et moderne, elle fut un temps comédienne, puis journaliste, et même, mime. Mais si elle a laissé une trace au cœur de l’histoire française, c’est par sa soif de liberté, sa fougue, et la qualité de ses écrits... Portrait d’une femme de conviction, inspirante, libre et libérée, et qui ne se refusait rien.

Une robe noire, une petite taille et une voix hors du commun: c’était Édith Piaf. «La Môme» de Paname, partie de rien et parvenue au sommet, reste un monument de la chanson française plus de 47 ans après sa mort. Elle domina le music-hall pendant près de 30 ans et a laissé en héritage des classiques comme «La vie en rose», «L’Hymne à l’amour», «Mon légionnaire», «La foule» ou «Milord». Et sa vie romanesque mêle les triomphes, les échecs, la misère, la gloire, les drames, les passions, le bonheur et l’enfer. Une existence dont elle ne regrettait rien, comme elle le clamait dans une de ses plus célèbres chansons.

«Bonjour tristesse», «Aimez-vous Brahms ?», «Château en Suède», «La chamade», «De guerre lasse» ou «La femme far- dée» : voila quelques uns des principaux romans ou pièces de théâtre qui ont installé Françoise Sagan dans le Panthéon des grands écrivains français du XXème siècle. Disparue en 2004, Sagan aura mené son existence sous les signes de l’anticonfor- misme, des plaisirs dangereux et du scandale. Une femme de plume qui écrivait aussi vite qu’elle parlait et dont le meilleur ami, le romancier-journaliste Bernard Frank, disait qu’elle était «la mademoiselle Chanel de notre littérature».