Les concours du Conservatoire

La Chronique musicale a pensé qu'il serait plus sage pour elle d'attendre la fin des concours pour en rendre compte, afin de pouvoir d'un seul coup envisager l'ensemble de ces séances intéressantes, que de partager en deux le récura des impressions suggérées par elles.

Palmarès du Conservatoire de musique pour l'année 1873

La pioche des démolisseurs fait tomber en ce moment une partie du château des tuileries dont la Chronique musicale a le droit de retracer l'histoire, car l'Opéra, l'Opéra-Comique, l'Opéra-Italien, y ont donné tout à tout leurs représentations.

Au mois de décembre 1682, la cour était à Versailles. Parmi les divertissements que le roi donnait à ses invités et à ses courtisans, la musique tenait une place considérable. Lulli ne laissait jamais son protecteur manquer de ses plaisirs habituels, et chaque année, dans l'hiver et au carnaval, Versailles voyait éclore quelques nouvelles merveilles, tragédies en musique, ballet ou comédies avec entrées.

Dans une substantielle brochure intitulée : Le Diapason et la notation musicale simplifiés, M. Charles Meerens présente au public une série de réformes constitutionnelles qu'il avait originairement soumises à l'examen des Académies de Bruxelles et de Lille.

Beaucoup de personnes n'ont peut-être pas une idée bien nette de ce qu'on entend par le Prix de Rome, et le commun préjugé est de prendre cette institution pour une dépendance du Conservatoire.

Son palmarès pour l'année 1873

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