TEFAF Maastricht

Dans cette série, COLLECT s’interroge sur la place des jeunes artistes dans le monde de l’art contemporain. Pourquoi réalisent-ils leurs oeuvres ? D’où vient leur inspiration ? Comment perçoivent-ils leur position dans le monde de l’art ? Ce mois-ci, la parole est à Hannelore Van Dijck (1986, Wuustwezel).

Dans cette rubrique, COLLECT cherche à découvrir la personne qui se cache derrière le professionnel. Nous interrogeons chaque mois une personnalité du monde de l’art sur des sujets plus intimes comme ses plat préférés ou son passe-temps favori. Ce mois-ci, visite chez Jacques de la Béraudière (1942, Boulogne-Billancourt) qui ouvrait en mai 2016 une galerie dans sa demeure bruxelloise.

Smoke and Mirrors, c’est Los Angeles vu à travers l’oeil d’un artiste français devenu citoyen américain. Los Angeles non pas à travers ses clichés touristiques, mais la Cité des anges vue à travers une chambre technique. Il faut prendre le temps, pour cela, de déambuler et de rester concentré sur son sujet.

Nouveau lieu accueillant régulièrement des expositions d’artistes contemporains de renommée internationale, dont Monique Frydman, Tomás Saraceno, Sheila Hicks ou Edmund de Waal, l’Espace Muraille présente en ce moment une série d’oeuvres du plasticien danois Olafur Eliasson.

Beaucoup moins connu qu’Auguste Rodin, Medardo Rosso a pourtant profondément transformé l’art de la sculpture. Le modeleur impressionniste italien fait, pour la première fois en Belgique, l’objet d’une rétrospective au musée des Beaux Arts de Gand.

Depuis son ouverture en juin 2013, les expositions d’EMERGENT, hébergées dans la demeure historique De Valk sur la Grand-Place de Furnes, font l’objet d’éloges bien méritées. Est-ce une galerie ou un centre d’art contemporain ? L’art exposé ici est à vendre, mais la structure financière est en grande partie garantie par des associés. Comment ?

À quoi tient la qualité d’une foire d’antiquités ? A la sélection rigoureuse des oeuvres exposées ! Expert à la TEFAF depuis une dizaine d’années, Ger Luijten, directeur de la Fondation Custodia à Paris, a accepté de nous éclairer sur ce qui constitue, pour chaque exposant, un passage obligé : le vetting.

Bruxelles fait partie des très bons élèves, non seulement en matière d’artistes et de galeries d’art contemporain, mais aussi du côté de leurs homologues en design. Le tout nouveau salon Collectible, centré sur le design actuel, renforce encore cette image.

L’exposition de printemps du musée de la photographie d’Amsterdam, Huis Marseille, est entièrement consacrée aux photographes de l’Ecole de Düsseldorf. Cette présentation amorce la programmation 2019 de l’institution qui fêtera alors ses vingt ans d’existence. En guise d’annonce à cette année commémorative, le musée organise une série d’expositions sur des thèmes directement liés à sa collection.

Le Tintoret se contemple à Venise. L’oeuvre du furioso, qui travaillait nettement plus vite que le Titien, son collègue de la génération précédente qui fut brièvement son maître, est principalement visible dans la Cité des Doges, plus précisément en la Scuola di San Rocco, en l’église Santa Maria dell’Orto et au Palais des Doges. Dans la salle du Grand Conseil, coeur de gouvernement de la Sérénissime, on peut notamment voir de lui la plus grande toile jamais réalisée in situ et ailleurs (plus de 22 mètres sur 9), représentation allégorique du paradis. Mais il y a bien sûr d’autres endroits à Venise où l’on peut contempler ses oeuvres, l’artiste ayant en effet rarement quitté sa ville natale. Aujourd’hui, on peut évidemment admirer ailleurs des Tintoret, surtout des oeuvres de jeunesses. Cologne présentait ainsi des oeuvres de ses débuts sous le titre un peu racoleur de Tintoretto. A Star Was Born. L’exposition est désormais présentée à Paris au Musée du Luxembourg, sous le titre plus classique de Tintoret. Naissance d’un génie.

La scène s’inspire d’un fait contemporain et le peintre s’est évertué à lui insuffler une formidable expression. Même si la critique eut la dent dure face à cette toile présentée à Paris, au Salon officiel de 1824, l’oeuvre assoit irrémédiablement Eugène Delacroix comme chef de file des Romantiques.

L’Américaine Mary Cassatt fit partie, aux côtés de la Française Berthe Morisot, du fameux cercle des impressionnistes français, un univers essentiellement masculin. Le Musée Jacquemart-André, à Paris, présente une rétrospective de son oeuvre en cinquante peintures, pastels et gravures. L’artiste excellait dans les portraits de femmes et de mères avec enfants.

...à la table du duc d’Orléans !

Divine transparence de la pierre

L’éthique et l’esthétique doivent aller de pair