Pieter Vermeersch

Pieter Vermeersch

par Elena Cardin

Pieter Vermeersch aime définir ses peintures monochromes comme « un point final à l’articulation linguistique ».

Nicolas Bourriaud

par Clémence Agnez

Arrivé à la tête de La Panacée au début de l’année 2016, Nicolas Bourriaud, critique d’art, co-fondateur du Palais de Tokyo et ancien directeur de l’école des Beaux-Arts de Paris, y déploie, avec l’équipe du centre d’art, un programme d’expositions et de productions qui met en avant des artistes et des curateurs français et internationaux. En 2017, La Panacée devient l’une des composantes du MoCo — méta-structure qui inclut également l’école supérieure des Beaux-Arts de Montpellier et le futur Musée des collections dans l’Hôtel de Montcalm — dont l’inauguration est fixée au 29 juin 2019. Désormais à la direction de ces trois sites, Nicolas Bourriaud instaure, avec l’aide des équipes en place, des liens puissants entre chacune de ces composantes qui s’éclairent et se nourrissent mutuellement. Afin de célébrer l’ouverture du Musée des collections, le MoCo présentera « 100 artistes dans la ville », une exposition qui s’étendra sur tout le territoire du centre ville de Montpellier ainsi qu’à Sète, commune voisine partenaire de l’évènement.

Marie Lechner

par Aude Launay

Computer Grrrls

Blackness ou comment disparaître en pleine lumière

par Pedro Morais

Entre le débat pour la décolonisation des musées et le désir d’échapper aux assignations identitaires, une nouvelle génération d’artistes, de chercheurs, de lieux et de curateurs assume la nécessité d’affronter le racisme structurel tout en cherchant à créer des espaces d’opacité, de fugitivité et d’affirmation d’un futur.

Mircea Cantor

par Patrice Joly

La première pièce de l’exposition de Mircea Cantor à la Chapelle de l’Oratoire du Musée d’arts de Nantes pourrait presque résumer à elle seule la pratique de l’artiste. Phrase en forme d’anti-slogan, prononcée par un de ses enfants et qui exprime la volonté de l’artiste de ne pas jouer les sauveurs de l’humanité, de ne pas outrepasser un rôle qu’il se plaît à vouloir modeste, I Decided Not to Save the world, est un ventriloquisme.

Josephine Meckseper

par Ilan Michel

« La sensation d’une machine [...] dont le branle aurait gagné jusqu’aux étalages » écrit Émile Zola dans Au Bonheur des Dames — sentiment de terreur et de fascination éprouvé face aux techniques marketing des grands magasins.

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