Validé, le rap a sa série

Témoignage

Rap game à la française

Dans « Stranger Things », elle crève l’écran. Sur les réseaux, elle explose. Portrait d’une ado pas tout à fait comme les autres devenue la coqueluche de Hollywood.

"Le truc, avec le Covid-19, c'est qu'il se moque de savoir si vous êtes riche, célèbre, drôle ou intelligent, où vous vivez, l'âge que vous avez. C'est le grand égalisateur et ce qui est terrible, c'est que c'est génial à la fois", philosophe Madonna, nues dans sa baignoire WWL. Pochep, confiné dans son placard à balais, lui répond.

Ils sont partout autour de nous.

En France, il disparaît dans les années 1930, après des siècles de chasse intensive. Car dans l’imaginaire collectif, le loup est l’ennemi de l’homme, un prédateur, qui tue les bêtes de troupeaux et rôde parfois autour des maisons. Presque un siècle plus tard, l’image de l’animal a changé. Le loup n’est plus un animal à abattre mais à protéger. Revenu naturellement dans notre pays au début des années 1990, ce mammifère carnivore, doué d’une grande capacité d’adaptation, vole au secours de la faune et de la flore.

C'est un ovni dans le monde du jeu vidéo. Deux millions de personnes ont déjà versé 300 millions de dollars pour que Star Citizen voie le jour. Huit ans après, le jeu n'est toujours pas sorti, mais les enchères courent toujours...

Reportage

Au plus fort de la crise liée au coronavirus, plus de 3 milliards de personnes étaient confinées sur une planète balayée par la pandémie. Mais d'où vient la maladie? Qui l'a contractée en premier? Et doit-on s’attendre à l’apparition de nouveaux virus dans les années à venir?

Tout commence en 1347. A bord d'un voilier amarré dans un port méditerranéen, des rats noirs se faufilent entre les marchandises. Nul ne sait encore que ces petits passagers clandestins, infestés de puces, sont porteurs de la grande peste noire.

De ses origines militaires jusqu'à nos jours, ce n’est peut-être pas tout à fait un hasard si la sacoche sème derrière elle une odeur de poudre. Les soldats de l’Empire la connaissent déjà sous le nom de giberne pour contenir leurs cartouches. Bien plus tard, les séducteurs des années 1970 l’appelleront baise-en-ville et y glisseront clés, portefeuille, peigne, pipe, tabac et parfois même brosse à dents, pour parer à toute éventualité. Aujourd’hui, le mystère plane toujours autour de son contenu, comme si elle n’abritait que ce qui part en fumée.

Tels des hommes-araignées suspendus à un fil, les nordistes escaladent les façades et gravissent les buildings. Véritables acrobates, ils travaillent sans échafaudage, entretiennent les gratte-ciel et restaurent les bâtiments historiques. On les appelle aussi les ouvriers du ciel.

Capture d'écran