Jacques Weber

Jacques Weber

par Vincent Cespedes

Nu devant Lear

Catherine Hiegel, Marcial Di Fonzo Bo

par Hélène Chevrier

En 1995, Jean-Luc Lagarce publie un texte inspiré de l’ouvrage de la baronne Staffe paru en 1889 Usages du monde : règles du savoir-vivre dans la société moderne. Repris par Lagarce, ce manuel prend un tour résolument ironique. Catherine Hiegel ne connaissait pas le texte. C’est Vincent Dedienne qui a pensé qu’il "lui irait bien." Seule en scène, elle est dirigée par Marcial Di Fonzo Bo.

Ariane Mnouchkine

par Jean-Claude Lallias

En 2017, quand Ariane Mnouchkine reçoit le prix Goethe-Preis, elle est dans l’île de Sado au Japon, lieu d’exil des artistes et des lettrés, dit-elle. Elle évoque alors le grand Maître du Nô, Zeami, qui s’y plaisait et qui l’avait surnommée L’île d’Or... Dès lors elle s’interroge et songe à s’inspirer de cette source pour créer un spectacle (interview extraite d’un entretien vidéo réalisé pour Théâtre en Acte).

Jacques Vincey

par Vincent Bouquet

Aux commandes de Grammaire des mammifères de William Pellier, le directeur du Théâtre Olympia entend profiter de cette course folle qui ébranle nos habitudes et nos représentations sociales et intimes.

Macha Makeïeff

par Jean-François Mondot

Macha Makeïeff, qui dirige depuis 2011 La Criée, théâtre National de Marseille, met en scène un Tartuffe aux résonnances très contemporaines, qui met l’accent sur la notion d’emprise et sur la violence sectaire, avec toujours cette dimension plastique très forte qui est au cœur de son travail.

Julie Duclos

par Jean-François Mondot

Lars Norén regarde la folie sans pathos

Galin Stoev

par Hélène Chevrier

Ivanov, le héros de la pièce de Tchekhov, a vocation à incarner quelque chose d’universel. De fait, comme nombre de ses contemporains, ce personnage est accablé par une mélancolie qui le rend incapable d’agir. Galin Stoev, le directeur du Théâtre de la Cité à Toulouse, en propose une version revisitée à l’aune de la pandémie par l’auteur norvégien Fredrik Brattberg : IvanOff.

Maïanne Barthès

par Vincent Bouquet

Avec Je suis venu.e pour rien, la metteuse en scène entend redonner ses lettres de noblesse à l’ennui, porteur de plus de joie et de créativité que nos sociétés du temps optimisé ne le laissent à penser.

Christophe Rauck

par Patrice Trapier

Pour sa première saison, le nouveau directeur du théâtre Nanterre-Amandiers reprend deux textes de la Suédoise Sara Stridsberg dont l’écriture a bouleversé son regard sur la mise en scène.

Charles Tordjman

par Jean-François Mondot

Charles Tordjman s’attaque à un objet inclassable et bouleversant, le dernier livre de Jean-Claude Grumberg, La plus précieuse des marchandises (2019), un conte qui évoque l’extermination des Juifs pendant la seconde guerre mondiale.

Jean-Cristophe Dollé

par Vincent Cespedes

Dans la nuit du 26 au 27 mars 2002, Richard Durn tue à l’arme à feu huit élus à la fin d’une séance au conseil municipal de Nanterre, et en blesse grièvement quatorze autres. Jean-Christophe Dollé travaille sur le monstre, la violence, la marge et la folie. Avec la figure du tueur, il explore la petite fabrique de ténèbres et de désespoir qui culmine dans le délire criminel, inexorablement.

Marie Rémond

par Patrice Trapier

C’est l’histoire d’une insuffisance rénale, une maladie compagne de vie et de douleurs avec son cortège de dialyses et d’opérations. Le destin d’Hélène Ducharne, responsable du service de presse du Théâtre du Rond-Point, a fait l’objet d’un podcast au grand retentissement avant d’être adapté à la scène par et avec Marie Rémond.

Bénédicte Cerutti

par Patrice Trapier

Bénédicte Cerutti est une actrice hors du commun qui pousse l’art du jeu vers des frontières inconnues de l’âme humaine. Son rôle dans Médée explore les zones de douleur aux confins de ce que la psychanalyste Anne Dufourmantelle appelait “la sauvagerie maternelle”. Explications de la comédienne.

Alexis Michalik

par François Varlin

Du chef d’oeuvre au pire show

Vincent Dedienne

par Nathalie Simon

En 2014, son seul en scène S’il se passe quelque chose avait valu à Vincent Dedienne le Molière de l’humour. Il s’était ensuite illustré dans une pièce chorale, Le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux, mise en scène par Catherine Hiegel. Dans ce nouveau spectacle en solo intitulé Un soir de gala, l’ex-chroniqueur de télévision et de radio brosse une galerie de personnages monstrueux. Dirigé par Juliette Chaigneau, issue comme lui de l'École de la Comédie de Saint-Etienne, le comédien humoriste est plus impatient de monter sur un pla- teau qu’habité par le trac.

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