L’auteure et metteure en scène Alexandra Badea présente Thiaroye, premier volet d’une trilogie intitulée Points de non-retour. À la croisée de l’intime et du politique, ce projet théâtral s’attache à éclairer des zones d’ombre de l’histoire récente de notre pays.
Hate de Laetitia Dosch
Alexandra Badea
Jean-François Derec
Jean-François Derec adapte et interprète le roman dans lequel il raconte son enfance et la découverte qui l’a bouleversée. écriture incisive, mise en scène au cordeau, interprétation hilarante et poignante et excellent viatique antiraciste !
Peter Stein
C’est l’une des grandes figures du théâtre européen de ces cinquante dernières années. Le metteur en scène d’origine allemande Peter Stein s’empare pour la première fois d’une pièce de Molière. Il crée Le Tartuffe avec notamment Pierre Arditi, Jacques Weber, Isabelle Gelinas et Catherine Ferran.
Eh bien, dansez maintenant
Au mitan d’une tournée mondiale où elle présente sa nouvelle création, Ilka Schönbein s’installe pour quelques représentations dans le temple parisien de la marionnette, lieu idéal pour cette prêtresse du genre !
Hate
La singularité artistique de Laetitia Dosch s’affirme et s’affine dans cette aventure hors normes en forme de duo à cheval. Hate sera sans nul doute un événement de la rentrée.
INA collection de DVD “films de théâtre ” :
Les rapports fructueux entre cinéastes et metteurs en scène
Le Dernier Jour du jeûne
Simon Abkarian réunit de magnifiques comédiens dans Le Dernier Jour du jeûne, tragi-comédie « à la méridionale ». Il signe un spectacle drôle et émouvant, lyrique et politique, palpitant et exaltant. Une vraie merveille !
Théâtre de Sartrouville et des Yvelines
Une créativité fédératrice
La Loi des Prodiges
François de Brauer réalise une époustouflante et hilarante performance autour de la Réforme Goutard, portée par Rémi Goutard et visant à faire disparaître les artistes.
Benoît Lambert, la jeunesse à coeur et à jardin
Au Théâtre de l’Aquarium, Benoît Lambert crée Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux. Une pièce qui témoigne de l’engagement du metteur en scène envers les jeunes générations de comédiens au Théâtre Dijon Bourgogne qu’il dirige depuis 2013. De son désir de les accompagner au mieux au sortir des Écoles Supérieures d’Art Dramatique, notamment à travers un dispositif pilote porté par le Centre Dramatique National.
Un nouveau cap pour la Comédie de Genève
Ce théâtre historique de la capitale suisse, qui fut dirigé notamment par Benno Besson ou Claude Stratz, vit aujourd’hui une mutation. Ses nouveaux directeurs, Natacha Koutchoumov et Denis Maillefer, surnommés « NKDM », affichent de grandes ambitions. Nouvelle ligne artistique, nouvelle identité graphique, nouveaux dispositifs d’action culturelle, nouvelle politique tarifaire… : leur projet se révèle dynamique et haut en couleurs. Pleins feux sur cette première saison qui est aussi la dernière saison complète dans le théâtre du boulevard des Philosophes, avant de déménager l’an prochain dans le quartier des Eaux-Vives en pleine expansion.
Clément Poirée
Le directeur du Théâtre de La Tempête met en scène la ronde nocturne d’Ivan Viripaev, une symphonie où les personnages ivres laissent émerger leur désir de vivre, leur besoin de sens et d’amour.
Théâtre Kléber-Méleau
Grâce à une saison voyageuse, nourrie par les rêves des poètes et les pouvoirs de l’acteur, le Théâtre Kléber-Méleau invite au dialogue entre fiction et réel, entre l’ici et l’ailleurs, entre l’évidence et l’énigme. Cet automne, Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil sont invités en Suisse. Au fil de la saison, la scène de Renens célèbre la vitalité d’un théâtre ambitieux et sans frontières.
Olivier Balazuc et Lou Wenzel
Olivier Balazuc et Lou Wenzel font leur rentrée aux Plateaux Sauvages. Sous la direction du metteur en scène, la comédienne interprète Max Gericke ou pareille au même de Manfred Karge : l’histoire d’un chemin d’existence à double voie.
Anne Teresa De Keersmaeker
Rares sont les chorégraphes qui peuvent afficher plus de trentecinq ans de créations. C’est le cas d’Anne Teresa De Keersmaeker, à laquelle le Festival d’Automne à Paris consacre un « portrait » composé de onze pièces différentes qui jalonnent son parcours d’exception.