Les voiles latines

En Méditerranée, depuis des millénaires, des générations de charpentiers se sont succédé et ont construit des galères, des caravelles, des tartanes, des felouques, des chebecs, des gourses, des bettes, des mourres de pouar, des gozzi, des barques, “barquettes” et autres embarcations aux noms qui fleurent bon le patrimoine Mare Nostru. Malgré des appellations si différentes, ces embarcations ont en commun un air de famille indéniable qui tient à leur mode de déplacement : la voile latine.

Né six ans après Napoléon, Lucien a peu connu son frère dans l’enfance. En 1781, Charles Bonaparte obtient pour lui une bourse : il quitte la Corse pour les murs glacés du collège d’Autun.

Si elle ne fait pas partie des plus célèbres plantes endémiques de Corse, la timide nivéole à longues feuilles nous raconte, aussi bien qu’une autre, comment se sont constitués les particularismes et la richesse botanique de l’île.

Les étranges boules duveteuses qui décorent les pins pendant l’hiver sont l’oeuvre de la processionnaire du pin, un “ravageur” qui représente un réel danger non seulement pour son hôte mais aussi pour l’homme. Heureusement, la processionnaire a quelques ennemis…

Elles semblent sorties tout droit d’un film d’anticipation et leur sobriquet de “limaces de mer” rend bien peu hommage à leur beauté et à leurs robes chatoyantes. Voici un (autre) monde à découvrir avec les nudibranches, organismes étonnants qui ont la capacité, entre autres, de voler

Jean-Baptiste de Caraffa (1858-1936), dit Tito, appartient à la haute société bastiaise. Notaire, maire de Bastia (de 1912 à 1917), fin lettré, passionné par l’art et les sciences naturelles, il découvre la photographie vers 1896.

La première mention de transport de chevaux remonte à 490 av. J.-C., lors de la première expédition de Darius contre Athènes. À Marathon, l’attaque des Grecs s’opère après le réembarquement des chevaux. En 168 av. J.-C., on signale la présence de trente-cinq transports de chevaux lors de la troisième guerre macédonienne (171-168), détruits par les Macédoniens près de l’île de Chio.

Immense famille cosmopolite mais surtout tropicale, les cétoines suscitent l’intérêt de bien des naturalistes. Rien d’étonnant à cela tant elles sont à l’entomofaune ce que les gemmes et les pierres précieuses sont au monde minéral, la vie en plus ! Certes, leur configuration massive manque un peu d’élégance, mais le somptueux réside dans leur livrée nuancée le plus souvent d’émeraude, de rubis ou d’améthyste, de jade parfois.