Édito - C’est mal de le dire, mais on déteste les hommes politiques. Ils sont menteurs, jobards, démagos, vaniteux, traîtres, gras de suffisance, farcis de duplicité. Le pire, c’est qu’ils la ramènent. Regardez Rachida Dati. Elle critique Fillon, elle qui a été parachutée dans le 7ème arrondissement. Cette brebis jamais égarée se prend pour une vedette de cinéma qui va frimer aux Assedic spectacle. Fillon ? Un pitbull à tête de Snoopy. Roselyne Bachelot ? Notre-Dame des Tantes. Hollande ? Bisounours agité à la rhétorique de peluche. Hervé Morin ? L’influence d’une punaise, le charisme d’une praire. Jack Lang ? La Cicciolina de la culture. Ségolène Royal ? L’humanité d’un bigorneau. DSK ? Grosse pizza bouffie d’orgueil. Martine Aubry ? Une faux-cul avec une colonne vertébrale en bâton de guimauve. Bayrou ? Un expert en immobilisme. Villepin ? Le nom d’un cheval de course, mais il n’a jamais couru…
Histoire de France à l’école : une sale histoire
Politiquement infect
Histoire de France : Une sale histoire !
Par souci de démagogie aigüe et de repentance imbécile, l'Éducation Nationale supprime du programme scolaire l'étude des grandes figures françaises et opte pour une mondialisation rampante.
Le mystère de l’intouchable Carrère
Et s'il y avait comme une sorte de consensus autour de l'auteur surestimé de 'Limonov' ? Il y a un mystère que je ne parviens pas à élucider. Il concerne Emmanuel Carrère et ses livres. Le premier n'est pas médiocre et les seconds ne sont pas mauvais. Il n'empêche que ce double constat admissible par tous n'explique pas pourquoi l'un et les autres jouissent auprès de la critique d'une cote d'amour qui dans son intensité est totalement incompréhensible. En effet, on a le droit d'apprécier ses romans, ses récits, mais ce n'est pas obligé de trouver géniale "La classe de neige" ou indépassable "L'adversaire".