"La liberté ne se donne pas, elle se prend"
Fanny Ardant contre les censeurs
Fanny Ardant
Les classiques sont-ils toxiques ?
Bilan culturel d’un mandat présidentiel
Le bilan des politiques culturelles du premier mandat d’Emmanuel Macron n’est ni univoque ni aisé à faire malgré des constantes.
Les musées européens à l’heure des abus de la soustraction culturelle
Le vandalisme
Des crimes lèse-culture à répétition, rarement sanctionnés
Hemingway à l’épreuve du genre
Décoloniser la musique
Un désir de la destruction
Netflix, Disney+, Amazon et les autres
Les plateformes menacent-elles la liberté de création ?
Controverse postcoloniale au forum Humboldt
De Saturne à Satan
Dans toutes les mythologies, dans toutes les religions, les forces du mal sont représentées par quelque monstre – géant ou ogre – qui réside généralement dans un au-delà mystérieux et inaccessible aux humains, sauf après leur mort. Cet au-delà, c’est l’Enfer, au pluriel pour les Grecs et les Latins, au singulier pour les chrétiens. Les descriptions qu’en ont faites les théologiens, les philosophes et les poètes, les représentations que nous devons aux peintres et aux sculpteurs, les évocations des musiciens en sont innombrables, de Dante à Milton, à Victor Hugo ou à Baudelaire, de Botticelli à Jérôme Bosch, à Goya, à Delacroix ou à Rodin. Or, de nos jours, il semblerait que l’Enfer soit descendu sur terre, qu’il se soit installé au milieu de nous, en nous-mêmes. C’est ce parcours que retrace Jean Clair dans une exposition spectaculaire, « Inferno », conçue en collaboration avec Laura Bossi, et qui ouvre le 15 octobre aux Scuderie del Quirinale, à Rome. Nous donnons ici, très légèrement condensée, la préface du catalogue, qui n’a paru, hélas ! qu’en italien et en anglais.
Comme un homme
L’auteure de Comme un frère, directrice littéraire chez Fayard, s’interroge sur les véritables enjeux du film Phantom Thread, de Paul Thomas Anderson.
Traditionis Custodes
La robe est toujours terrible
Les noces du caméléon et de la maïzena
Dictionnaire amoureux de Chopin
Après Schubert et Brahms, Olivier Bellamy nous fait partager sa passion pour celui qui incarne l’âme du piano, dans un livre à paraître chez Plon le 14 octobre.
Jean Dutourd
Un remède à la bêtise grégaire