Au temps du désespoir
Michel Houellebecq
Michel Houellebecq
Lettre à Michel Houellebecq
À propos de Sérotonine
Le mariage de Michel H. et Lysis Q.
Frédéric agite les bras, debout sur une table de terrasse. Je n’ai pas de raison de m’en étonner car Frédéric, dans la jungle urbaine, cherche toujours un promontoire d’où il peut toiser ses contemporains et faire de grands gestes.
Une parabole
La décadence romaine
Éternelle décadence
Depuis 1789, la France est en décadence. Tel est du moins l’avis de plusieurs générations d’écrivains qui se sont succédé depuis le début du XIXe siècle.
Décadence et modernité
La décadence désigne le plus souvent une fin, alors que la modernité marque un début. La décadence, dont la chute de l’Empire romain a fourni, bien avant Montesquieu, Edward Gibbon et Volney, le paradigme par excellence, est généralement assimilée à quelque déliquescence morale et intellectuelle, à un effondrement économique et politique, alors que la modernité est placée sous le signe du renouveau, de la renaissance, du progrès.
Décadence et utopie selon William Morris
Tout au long du XXe siècle, la pensée utopique de William Morris a été perçue comme l’un des motifs de papier peint qu’il chérissait, un motif de fleur dont on admirait la forme sans en reconnaître l’essence, jugée chimérique.
Hégémonisme américain
L'Europe tétanisée face à l'hégémonisme américain
Droite et décadence
Deux siècles de méditation sur la chute
Comment les jeunes ont-ils perdu leur foi dans le progrès ?
Depuis plus de deux siècles, le « progrès » structure la vie politique, économique et sociale des pays occidentaux, et avec lui la hantise de la décadence. Mais si le premier a souvent eu l’avantage sur la seconde, il semblerait que le rapport de force soit aujourd’hui tout autre. Le progrès est aujourd’hui la chose la moins bien partagée… Pourtant, il n’a pas perdu la partie.
Je suis la faussaire de mon passé
L’auteure de Tous les hommes désirent naturellement savoir (JC Lattès) a grandi à Alger. Elle vit un exil sentimental et romantique.
Tanizaki Junichirō
En 1910, alors âgé de seulement 24 ans, Tanizaki Junichirō, qui allait devenir l’une des figures les plus contestées du Japon littéraire, publiait sa nouvelle Le Tatouage dans une revue créée avec un groupe de camarades.
Laelius de Amicitia de Cicéron
L'histoire, un recours contre la décadence de la République ?
Une réponse à Marc Weitzmann
Rembrandt
Portrait d'un inconnu