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Dani revient avec un disque joliment punk, Horizons dorés. Entretien avec une éternelle optimiste, désirant croire que la nuit de la culture ne durera pas.

Il a multiplié les prises de position en faveur des petits artisans du secteur culturel. Le nancéien Nicolas Mathieu, Goncourt 2018 avec Leurs Enfants après eux, publie La Grande école, son premier album jeunesse. Rencontre avec un écrivain indigné.

Alors qu’une réouverture des restaurants est évoquée au 20 janvier en France, Olivier Nasti, deux Étoiles au Michelin à Kaysersberg, est en quête de solutions nouvelles, adaptées à cette période particulière.

Dans Ma Vie en rouge et blanc, le mythique entraîneur Arsène Wenger donne quelques pistes sur les évolutions actuelles du foot.

Grâce aux joyaux de la collection Haukohl, Beyond The Medici dévoile les splendeurs méconnues du baroque florentin.

La rétrospective dédiée à Pierre Soulages par le Museum Frieder Burda décrit la lumineuse trajectoire picturale de l’artiste de 1946 à 2019.

Inspirée de l’œuvre de Milan Kundera, l’exposition collective La Fête de l’insignifiance explore les multiples figures de l’étranger.

D’une brûlante actualité, La Terre aux limites est une exposition bâloise salutaire dressant un état des lieux d’une planète au bord de l’asphyxie.

Avec Fantasmagorie, les lanternes de peur entre science et croyance, le Musée alsacien revient sur l’incroyable créativité de l’un des ancêtres du cinéma et de ses “bricoleurs illusionnistes” de génie.

Monstres sacrés, Le Corbusier et Jean Prouvé étaient Proches à distance : une exposition explore leur liens.

Deuxième édition de L’Année commence avec elles, temps fort de Pôle Sud autour des nouvelles générations de chorégraphes.

Pas à un paradoxe près, Julia Vidit met en scène, avec sa compagnie Java Vérité, Le Menteur de Corneille. Entre faste et paraître, la pièce devient une réflexion sur le pouvoir, la place des femmes et les carcans sociétaux.

Avec Girls and Boys de son auteur fétiche Dennis Kelly, Chloé Dabert signe sa première création à la tête de la Comédie de Reims. Un monologue reflétant la violence de notre société, jusque dans la cellule familiale.

Dans le solo chorégraphique Soulèvement, Tatiana Julien explore la puissance et la gloire, le pouvoir d’attraction des discours invitant à la révolte comme le magnétisme des images dont se manipule la symbolique à l’envi.

Le chorégraphe israélien Emanuel Gat nous embarque dans son LOVETRAIN2020. Une nouvelle création flirtant avec la comédie musicale façon Tears for Fears.