Expositions 2019-2020

Le Musée Würth consacre une importante rétrospective à José de Guimarães qui « puise à la réalité du rêve » dans les cultures africaines, mexicaines ou chinoises.

Grâce à un corpus d’environ 140 pièces majeures, la Moderne Galerie de Sarrebruck fait dialoguer les œuvres de deux révolutionnaires : Auguste Rodin et Bruce Nauman.

Avec Other Russias, le Cartoonmuseum Basel consacre une passionnante rétrospective à Victoria Lomasko qui livre une vision de son pays très éloignée des discours officiels.

Quand Art contemporain et nature s’invitent dans la ville pour Sélest’Art, l’espace est envahi par des œuvres qui sont autant d’herbes folles.

La Völklinger Hütte accueille une exceptionnelle exposition : avec plus de 160 objets, L’Or des pharaons emporte le visiteur dans l’Égypte antique.

À Bâle, quelque 400 pièces retracent l’histoire des Sacs depuis le milieu du XVIe siècle : un fascinant voyage entre utilitarisme et esprit couture.

Où sommes-nous. L’exposition de La Kunsthalle interroge notre perception des choses. Et nous perd dans ses méandres...

Pour sa 33e exposition, la kunsthalle messmer plonge dans l’existence et la légende de Marilyn Monroe.

Pour la cinquième fois, Contemporary Art Baden-Baden, événement mêlant expositions et shopping, fait vibrer les rues de la cité.

Le collectif In Vitro « provoque le réel » avec Tchekhov dans la ville, mise en scène hors-les-murs des Trois sœurs.

Au bord du Rhin, la compagnie franco-allemande Baal Novo inaugurait, fin septembre à Neuried, le Theater Eurodistrict BAden ALsace.

Aurélien Bory s’empare de la scénographie d’une pièce créée en 1994 par Mladen Materic pour revisiter mémoire et représentations dans Je me souviens Le Ciel est loin la terre aussi.

Chloé Dabert, nouvelle directrice de la Comédie de Reims, présente Orphelins, terrible huis clos signé Dennis Kelly qui la fit connaître, en 2013.

Dans 21 rue des Sources, Philippe Minyana se livre à un voyage dans le temps et à une réflexion sur l’évolution des sociétés, en utilisant « la vie d’une maison comme métaphore d’une civilisation en mouvement ».

Dans une ode à François Truffaut, le metteur en scène Antoine Laubin adapte cinq de ses films au théâtre. Le Roman d’Antoine Doinel ou l’éloge de la fuite.