Philippe Jaroussky

Philippe Jaroussky

par Michel Parouty

Avec son nouvel album Virgin Classics, intitulé La dolce fiamma et aussi exceptionnel que les précédents, le contre-ténor français confirme qu’il est bien, à 31 ans, l’un des meilleurs interprètes actuels de la musique vocale des XVIIe et XVIIIe siècles. Ce qui ne l’empêche pas de goûter également aux délices de la mélodie française fin de siècle et du répertoire contemporain.

Daniel Bizeray

par Michel Parouty

Le 6 novembre, une nouvelle production de Manon ouvre la prestigieuse manifestation dédiée par la ville de Saint-Étienne, depuis 1990, à l’un de ses plus célèbres enfants. Daniel Bizeray, successeur de Jean-Louis Pichon à la tête de l’Opéra Théâtre, lève le voile sur ses projets et ses ambitions.

Éric Chevalier

par Michel Parouty

Après Le Caïd en 2007, c’est avec une nouvelle production d’Hamlet que s’ouvrira, le 27 novembre, la Biennale dédiée au compositeur de Mignon par la capitale de la Région Lorraine. Éric Chevalier, directeur artistique de l’Opéra-Théâtre de Metz, évoque les grandes orientations de cette deuxième édition.

Paul Finel

par José Pons

À l’approche de son 85e anniversaire, le ténor français, partenaire régulier des Régine Crespin, Mado Robin et autres Rita Gorr, n’a rien perdu de son enthousiasme.

Pierre Audi

par Nicolas Blanmont

Le 1er décembre, à la Monnaie de Bruxelles, le directeur artistique de l’Opéra d’Amsterdam met en scène, le même soir, les deux opéras inspirés à Gluck par la fille d’Agamemnon.

Schiller et l’Opéra

par Jean Cabourg

Le 10 novembre, la planète lyrique célèbrera le 250e anniversaire de la naissance de l’un des plus célèbres poètes et auteurs dramatiques allemands. Sans jamais signer lui-même de livret d’opéra, Friedrich von Schiller en inspira beaucoup, et des fameux, à commencer par Guillaume Tell, Maria Stuarda et Don Carlos.

L’autre Opéra-Comique

par Éric Pousaz

Fondé au lendemain de la guerre par Walter Felsenstein, le Komische Oper est l’un des trois principaux théâtres lyriques de Berlin. Alors que le Deutsche Oper et le Staatsoper Unter den Linden jouent davantage la carte du vedettariat, il mise avant tout sur son esprit de troupe. Tous les opéras y sont donnés en langue allemande et la mise en scène y est jugée aussi essentielle que la musique.

Berlin rebelle et anticonformiste

par Gaby Bourjaili

Le 9 novembre, la capitale de l’Allemagne fête le 20e anniversaire de la chute du Mur qui la défi gura pendant près de trente ans, avec de nombreuses expositions et manifestations commémoratives. L’occasion de visiter une ville martyre qui, par-delà les fractures de l’histoire, a su préserver sa bonne humeur et son dynamisme... et d’aller voir un ou plusieurs opéras dans l’un de ses trois principaux théâtres lyriques.

Le bel arbre que voilà !

par Richard Martet

Un opéra presque inconnu d’un compositeur peu connu : le Liceu de Barcelone prenait des risques pour l’ouverture de sa saison 2009-2010. Pari gagné, tant L’arbore di Diana de Vicente Martin y Soler s’avère une heureuse découverte, surtout servi par un metteur en scène aussi imaginatif que Francisco Negrin.