Au mois de septembre 1911, Franz Kafka et son ami Max Brod sont venus à Paris avec en tête de leur programme une visite si singulière qu’elle pose d’emblée la question de l’énergie sombre générée par l’art : à peine descendus du train, les deux hommes se sont rendus au Louvre, comme d’innombrables autres visiteurs, non pas pour voir de l’art, mais au contraire, pour regarder l’espace vide où avait été accrochée La Joconde, dérobée quelques trois semaines auparavant.
Energie sombre
In Absentia
L’ange écorché
Coupé, cousu
J’ai plus de batteries, c’est pour ça, c’est pour ça que je peux plus te parler, c’est pour ça que je veux t’écrire, pour pouvoir te parler, pour pouvoir prolonger la conversation, avec la friture sur la ligne et tout et tout, et tout ce qu’on ne s’est pas encore dit, et tout ce qu’on n’ose pas se dire quand on se voit, et tout ce qu’on ose se dire quand on ne se voit pas, et tout ce que tu ne vois pas quand je te parle, et tout ce que je vois et que je te dis pas, et tout ce qui se dérobe, et tout ce qu’on perd, et tout ce qui nous sépare, et cette distance nécessaire pour qu’on se voit, et cette distance nécessaire pour qu’on se parle, si on était tout le temps collé l’un à l’autre, on ne se verrait pas, on ne se parlerait pas autant, on n’aurait plus rien à se dire, peut-être qu’on pourrait plus se voir si on était tout le temps fourré ensemble, c’est sûr, je me méfie de moi, (...)
Nadine de Koenigswarter
Ce qui se passe entre
Eclipse
Something in the Way
A Marco Pantani Pour abréger mon agonie...
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Anne Immele
Etudes pour la serie the Anatomy of Melancholy
Kammer im Kunstwerk
..Un autre mois...
Depuis octobre 1997, un multiple est envoyé, chaque mois, sous la forme d’une carte postale, à un nombre fixe de correspondants.