Bridget Jones, veuve depuis quatre ans, vit seule avec ses deux enfants. Elle se retrouve courtisée par un homme de 29 ans... Conclusion idéale aux aventures de l’héroïne, ce quatrième volet, plus grave, porté par une actrice fabuleuse, est une vraie réussite.
L’Attachement de Carine Tardieu
Bridget Jones : Folle de lui (Bridget Jones : Mad About the Boy) de Michael Morris
Haut les mains ! de Julie Manoukian
Des militants écolo-féministes s’associent à un cambrioleur sur le retour pour mener leur combat contre les profiteurs. Malgré des personnages sympathiques, cette comédie très caricaturale manque de mordant et s’avère bien anecdotique.
L’Attachement de Carine Tardieu
Quinquagénaire sans enfants, Sandra se prend d’une affection réciproque pour le jeune fils de son voisin, qui vient de perdre sa mère. Adapté d’un roman d’A. Ferney, un drame à la fois tenu et généreux, régulièrement poignant - le plus beau film de C. Tardieu.
Brian Jones & les Rolling Stones (The Stones & Brian Jones) de Nick Broomfield
Les Fils qui se touchent de Nicolas Burlaud
Victime d’un accident cérébral qui endommage son hippocampe, zone de transit des souvenirs, Nicolas Burlaud met ses archives à l’épreuve de sa mémoire. Une réflexion subtile et prenante sur les liens indéfectibles entre le moi et le collectif.
Mercato de Tristan Séguéla
Mercato suit les aventures capitalistes d’un agent de joueur criblé de dettes. La volonté de rédimer son personnage (Jamel Debbouze, bluffant) trouble par sa ténacité, même si le trip souffre d’un souffle au cœur dramatique et d’une facture scénique terne.
When the Light Breaks (Ljósbrot) de Rúnar Rúnarsson
Une jeune femme perd le garçon qu’elle aime, sans pouvoir partager ce qu’il représentait pour elle. Si sa mise en scène est un peu imposante, Rúnar Rúnarsson sait laisser transparaître et partager l’émotion sincère de ses jeunes personnages endeuillés.