Un jeune fêtard de la jet set est projeté dans un village sous Louis XIV pour lui donner à réfléchir. Trop théorique et mécanique, le scénario n’est pas incarné et le casting n’est pas crédible. Un film prétentieux, artificiel, interminable, en un mot raté.
Mon parfait inconnu de Johanna Pyykkö
Le Larbin de Alexandre Charlot et Franck Magnier
Presque légal de Max Mauroux
L’été, à Arcachon, une bande d’amis désœuvrés ouvrent une épicerie clandestine nocturne, squattant le commerce d’Yvette qui ne se doute de rien... Une comédie assez ennuyeuse, sans véritable enjeu, aux personnages simplistes et à l’intrigue trop prévisible.
Belle enfant de Jim
Émily et ses deux sœurs partent en Italie pour retrouver leur mère, qui vient de faire une tentative de suicide. Malgré la performance notable de Baptiste Lecaplain, le premier film alambiqué du réalisateur Jim échoue dans sa quête d’émotion.
Deadpool & Wolverine (Deadpool & Wolverine) de Shawn Levy
Shawn Levy retrouve Ryan Reynolds dans ce cross- over qui imagine la rencontre explosive entre deux solitaires des studios Marvel, l’excentrique Deadpool et le misanthrope Wolverine. Un film dans l’esprit des précédents, à la fois dispensable et très drôle.
Gondola (Gondola) de Veit Helmer
En Géorgie, deux jeunes filles, Ivan et Nino, travaillant sur un téléphérique dont les cabines se croisent, vont user de leur fantaisie pour échanger à distance le sentiment qu’elles éprouvent l’une pour l’autre. Une comédie à l’inventivité roborative.
Goodbye Monster (Shan hai jing zhi zai jian guai shou) de Huang Jianming
Un guérisseur arrogant doit sauver son monde, menacé par des forces maléfiques. Sur le fond comme sur la forme, Goodbye Monster semble hésiter entre des schémas académiques et des gestes plus atypiques. Malgré un cœur attendrissant, un ensemble inégal.
Mon parfait inconnu (Min fantastiske fremmede) de Johanna Pyykkö
Jeune femme solitaire, Ebba tombe sur un bel inconnu frappé d’amnésie. Elle lui dit être sa petite amie... Un premier long métrage troublant sur les pouvoirs (et les dangers) de la fiction, au récit voilé d’incertitude, mais qui n’en oublie pas d’incarner ses personnages.