Oppenheimer de Christopher Nolan

Au Nouveau-Mexique, Caiti rêve de quitter son job de barmaid pour se consacrer à sa passion pour la musique. Doux-amer, ce documentaire entend gratter le vernis de l’Americana, mais le propos se perd dans des errances intimes redondantes.

Premier film marocain, Les Meutes s’appuie sur son unité de temps - son action se déroulant le temps d’une nuit - pour composer un récit dynamique mais fragile, en dépit d’une direction artistique convaincante et d’une écriture plutôt maitrisée.

Entremêlant extraits de La Croisière du Navigator de B. Keaton et images d’archives de l’arrestation et de l’expulsion, sur ce même bateau, de 249 anarchistes russes en 1919, N. Teichner nous fait réfléchir sur les ironies de l’Histoire. Époustouflant !

Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris destructeur.

Après la mort soudaine de son mari, Odile refuse d’accepter la réalité... Porté par la belle interprétation d’Ariane Ascaride, Sous le tapis aborde le thème du deuil, parfois avec originalité et poésie, parfois en tombant dans les clichés des comédies familiales.

Sortie de l’hôpital psychiatrique, Mimi croise la route de Paul, un avocat sur le déclin. Ensemble ils vont défendre un gentil escroc, aussi paumé qu’eux. Souvent très drôle, et par endroits émouvante, une comédie à l’amplitude modeste, mais réussie.