La Jeunesse Allemande d’aujourd’hui

Je savais bien dit t-elle quelle Louvre était fermé le lundi. Il était un peu penaud devant les grilles bien jointes. Onze heures d'un joli matin d'hiver, or et bleu pâle. Ils décidèrent de suivre les quais. Enfin, ils arrivèrent à la Concorde. A l'entrée de ce qu'il appelait toujours le Cours-la- Reine, ils virent des baraquements.

Par la comtesse de Noailles

Dans ce remarquable article, appelé, en raison de la personnalité de son auteur, à un grand retentissement, et dont Les Annales se sont assuré l'exclusivité, un Allemand universellement connu comme historien et écrivain politique trace de la jeunes.se de son pays un tableau précis, admirablement documenté. Emil Ludwig, en même temps qu'une grande conscience, est un de ces esprits européens en qui repose l'espoir d'une entente des peuples, basée sur la connaissance et la confiance réciproques. Sans le suivre absolument dans ses conclusions sur les aspirations de la jeunesse allemande, nous nous bornons à signaler l'intérêt capital s'attachant, dans les circonstances actuelles, à un document émanant d'une plume si autorisée et ayant trait à un état d'esprit de l'évolution duquel - tous les écrivains le reconnaissent - dépend peut-être le salut de l'Europe.

«Heureux ceux qui ont Faim ... », « Napoléon»

J'ai demandé successivement à J... et à K ... , qui sont romanciers de qualité, leur sentiment sur le livre de Jacques Chardonne et les réflexions que sa réussite leur inspirait.

Dans l'intéressant récit qu'on va lire et dont il a réservé la primeur aux Annales, M. Maurice Reclus, le brillant auteur de Monsieur Thiers et de L'Avènement de la Troisième République, précise les conditions dans lesquelles le maréchal de Mac-Mahon, dans la nuit du 15 au 16 mai 1877 et dans la journée historique du lendemain, prit l'initiative imprudente dont l'échec final devait si profondément marquer les débuts de la République parlementaire. C'est un des principaux chapitres d'un livre sur Le Seize Mai, que Maurice Reclus vient d'achever et qui va paraitre sous peu.

« Ce qui est grave, pour une aristocratie, ce n'est pas de perdre ses droits, c'est d'être dépouillée de ses devoirs . »

M. Pierre Laval se rendant en Amérique accompagné de Mlle José Laval, sa fille, c'était un peu l'homme privé en même temps que l'homme public qui acceptait l'invitation de la maison-blanche . le succès de l'un et de l'autre fut également grand et le sourire de Mlle Laval conquit tous les américains.

Henri Béraud a sa table de travail, corrigeant les épreuves des " lurons de sabolas ", le grand roman dont il a réservé la primeur aux lecteurs des • annales » et qui commencera a paraitre dans le numéro du 1er décembre.

Dans cette élude remarquablement documentée sur la décadence d'un des plus anciens et des plus puissants établissements financiers du monde, M. Émery Deri, le célèbre correspondant de guerre hongrois, retrace l'histoire des fameux banquiers viennois jusqu'à l'écroulement de la Creditanstalt et nous apporte d'intéressantes révélations sur leur rôle dans la bataille du franc, en 1926.

Le soleil brillait quand Hardcastle s'éveilla. Edmunds. était parti. Hardcastle sortit du trou. Les cuisines roulantes évacuaient de la fumée et des vapeurs.