En 2011, Amazon a créé deux « maisons d’édition » papier/numérique : Thomas & Mercer pour le mystère -thriller, Montlake pour la romance ; les deux domaines les plus vendeurs de la littérature populaire. Les deux maisons ont pioché parmi les auteurs auto-édités très soutenus par les lecteurs et, grâce à une « politique » de traduction nommée AmazonCrossing, leur ont fait sauter les frontières.
Confinements dans le noir
Robert monte en amazon
La collection Vernon Sullivan alias Boris Vian chez Glénat
De 1946 à 1950 Boris Vian a publié quatre romans noirs « américains » à sa façon, sous le pseudo de Vernon Sullivan. A part une première adaptation, chez Losfeld en 1967, de « On tuera tous les affreux » personne ne s’était encore vraiment penché sur le côté sullivanesque et obscur de Vian en BD : c’est désormais chose faite avec au scénario un fan du romancier – et scénariste chevronné – Jean-David Morvan.
Harry Bosch VS Bosch
Des romans de critique sociale
Dieu pardonne, moi pas, de Claude-Michel ROME. Albin Michel, 2020. Le cabinet Metzger & Associés vient de perdre accidentellement son père fondateur, retrouvé noyé au large de St- Malo lors d’une mystérieuse croisière en solitaire.
La tête en Noir confinée
Confinez-vous, il en restera toujours quelque chose
Dans un de ses livres, Sandrine Collette relate l'histoire d'une famille après un cataclysme : le père, la mère et les neuf enfants se retrouvent isolés dans leur maison et un bout de terrain transformé en île : sous leurs yeux, l'océan en rage : « Devant eux, c'était la mer, mais pas que."
Deux seconds romans qui confirment le talent de leurs auteurs.
Le cauchemar de l’aube, de Frédéric Dard
Ne comptez pas sur moi pour oser m’attaquer à la présentation de Frédéric Dard dans ces pages. L’homme aux 288 romans et probablement presque autant de pseudonymes mérite mieux qu’un bref paragraphe résumant sa pléthorique carrière.
Sous la glace : Les solitudes de l’ours blanc
Thierry Di Rollo est un auteur aussi passionnant qu’éclectique. Depuis ses premières publications à la fin des années 80, il n’a jamais cessé de varier les plaisirs, dans le fond comme dans la forme.
Autobiographie d’un virus, d’Éric Nataf
Max Journo, confiné dans une maison de retraite en 2050, raconte sa vie. Au début du XX e siècle il était jeune chercheur au CECOS quand il observe, en même temps que d'autres collègues de divers pays, une augmentation significative de la stérilité humaine.