Fin mars se déroulait à Beaune la huitième édition du Festival international du film policier. À cette occasion, le jury du Cercle rouge a attribué le Grand Prix du roman noir étranger à Boris Quercia, né en 1967 à Santiago du Chili, pour son roman Tant de chiens. Connu dans son pays comme un cinéaste véritablement multiprises : acteur, réalisateur, scénariste, producteur, il travaille notamment sur la série télévisée Los 80, très populaire au Chili. Mais il possède aussi son jardin privé, l’écriture de romans.
Des hommes et des chiens
Des hommes et des chiens
Sans espoir de retour : Le Cercle d’argent, d’Emmanuel Errer
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Martine lit dans le noir
Il reste la poussière, de Sandrine Collette (Denoël « Sueurs froides »). On connaît Sandrine Collette pour l'âpreté de ses personnages (Des noeuds d'acier, en 2013) ou des lieux (Les Fourmis blanches, en 2015).
Les Dépouilleurs, de Paul Sala
Grâce à l’Oncle Paul et son blog (billet très complet du 25 avril 2015), on en connaît un peu sur Paul Sala. L’auteur est né le 25 avril 1921. Il est policier de carrière et, à la fin de celle-ci, il commence à publier des polars.
Du roman policier au film noir, la rubrique de Julien Védrenne
Que la bête meure… Quand Claude Chabrol sublime Cecil Day-Lewis
Une ville en mai, de Patrick Raynal
Deux premiers romans d’auteurs sud-africaines pour ces vacances
La première est publiée chez Rivages, Marli Roode avec Je l’ai appelée chien. La seconde est parue au Seuil : Karin Brynard, dans ce qui pourrait bien être le début d’une nouvelle série : Les Milices du Kalahari.
KARIN HORREUR SLAUGHTER
Avec sa bouille pointue au sourire malicieux et ses cheveux en pétard de garçon manqué, on imagine KARIN SLAUGHTER grimpant aux arbres quand elle était petite. Elle ne semble pas vieillir depuis la publication de son premier pavé « Mort Aveugle » au début des années 2000 et pourtant ce bourreau du travail (dix gros romans de cinq cents pages en moins de dix ans) devrait avoir des valises sous les yeux.