C’est une collection unique en France que le monde du polar connaît peu. Et pourtant ! Voilà une mine pour ceux qui s’intéressent aux récits criminels anciens. Quelques questions à ANTHONY FROT, directeur de collection chez De Borée pour la série « Les Grandes Affaires Criminelles de…. » déclinée en presque tous les départements français, régions et même quelques arrondissements de Paris, soit une centaine de titres en sept ans.
Nouvelle vague prometteuse
Editions de Borée : le tour de France des grandes affaires criminelles
Thierry Brun pour une Nuit blanche
Plon lance une nouvelle collection de polars, oups, de thrillers, dont le nom inondera de larmes les yeux des nostalgiques invétérés qui hantent comme des âmes sans peine les rayons polar poussiéreux d’échoppes de bouquinistes aux regards affûtés : « Nuit blanche ».
Une chronique entièrement consacrée à la série noire pour ce numéro
Commençons par Noir Océan (Skipid, 2006), Série noire (2010), traduit de l’islandais par Eric Boury), premier roman d’un jeune islandais étonnant dont on n’a pas fini d’entendre parler : Stefán Máni. Le roman suivant est américain, L’évangile du billet vert (Salvation boulevard, 2008) Série Noire (2010)traduit de l’américain par Samuel Todd) est la confirmation du talent de Larry Beinhart, auteur de Reality Show et du Bibliothécaire.
“Le cul des anges ” de Benjamin Le grand
Pour Dimitri, les choses sont simples, il a l’argent et la photo de la personne à buter, il ne lui reste plus qu’à récupérer son arme à la consigne automatique pour exécuter son contrat.
Brigitte Aubert : Le souffle de l’Ogre. Fayard Noir, Éditions Fayard
Il existe les romanciers qui écrivent toujours la même histoire, en changeant quelque peu les personnages, les lieux, l’intrigue. Et puis ceux qui se renouvellent, dans l’atmosphère, dans l’intrigue, dans le genre même.
La nuit descend sur Manhattan de Colin Harrison
Une nuit à New York, deux mexicaines qui ont travaillé dur, sous la surveillance de Jin Li, patronne de Corp Serv, à ramasser des sacs poubelles provenant du back office d’une banque, sont surprises, quand elles rentrent chez elles, par des malfrats qui les tuent en les étouffant sous un amas de matières fécales.