Le Jeune public à l’affiche

L’universitaire Isabelle Barbéris explique comment la figure de l’artiste s’est trouvée désacralisée, au profit de celle d’un «artiste-gestionnaire».

À la tête des pages culturelles de L’Obs et du Masque et la Plume, Jérôme Garcin défend la place de la critique tout en portant un regard inquiet sur son avenir.

Favoriser l’autonomie, entreprendre autrement, développer durable

François Tanguy et le Théâtre du Radeau atteignent une forme de plénitude artistique avec ce Passim de haute volée.

Ce spectacle étonnant est né sur la piste du CNAC avant d’être peaufiné jusqu’à l’obsession (7 versions différentes !).

Les crises sont leur terreau, l’ultralibéralisme leur bête noire. Les artivistes tentent d’articuler art, résistance et action politique, mais n’entrent dans aucun mouvement clairement repéré. Entre contre-culture et avant-garde, leurs démarches radicales sont aux avant-postes des mouvements sociaux qui agitent la planète.

En instaurant un rapport à la fois plus intime et convivial à la représentation, le théâtre en appartement s’offre comme un bon prélude à la découverte de spectacles en salle.

Directeur de la programmation jeunes publics de MA – Scène nationale du Pays de Montbéliard, Laurent Coutouly est le nouveau directeur de Culture Commune.

La «Belle saison» que coordonne le ministère de la Culture jusqu’en décembre 2015 marque une étape importante dans la reconnaissance de l’excellence artistique de ce champ professionnel trop longtemps ignoré ou méprisé. Quels en sont les principaux projets ? Quels sont les principaux débats qui agitent le secteur ? Cette dynamique jeune public est-elle partagée à l’étranger ? Comment les acteurs des musiques actuelles investissent peu à peu ce domaine ?

La mission sur l’intermittence devait présenter ses préconisations en décembre. Ont-elles une chance d’être mises en négociation avant l’ouverture d’une nouvelle grande réforme de l’assurance chômage ?

Une nouvelle génération a pris les rênes des plus illustres de nos institutions, des plus contestées aussi, entre enthousiasme et lucidité dans un secteur qui affronte toutes les crises culturelles, financières, politiques.

Pendant l’été, le Festival d’Avignon a mené une enquête sur près de 3 000 spectateurs. Leurs réponses tordent le cou à quelques idées reçues.

Afin de créer des connexions entre univers artistiques et nourrir le travail des artistes de la région, le TJP a mis en place des parcours professionnels.

Malgré des difficultés inhérentes à leur situation géographique, les structures de la proche ou lointaine banlieue ont certains atouts à faire valoir.

Attachée au projet de ses prédécesseurs, la directrice Caroline Marcilhac insuffle une nouvelle dynamique aux principes fondateurs du Théâtre Ouvert.