Diffusion : méthodes et réseaux

À l’heure où les parcours culturels ont été décrits dans une circulaire interministérielle, Pascal Collin, homme de théâtre et ancien enseignant, revient sur ce que devrait être le Plan national d’éducation artistique et culturelle.

Pour la première fois en France, une étude exploratoire interroge le rapport des enfants et des familles au spectacle vivant et impulse ainsi un travail de recherche sur ces publics jusqu’ici oubliés du point de vue de la sociologie.

Un ouvrage, qui paraît aux Éditions de l’attribut détaille la méthodologie du projet mise en oeuvre par Culture O Centre pour aller au contact de la population.

Un chanteur pop et donc paradoxal : sous la séduction, les sombres sentiments.

Thierry Malandain fait souffler un vent de fraîcheur sur un Cendrillon fluide et révivifié.

En rupture avec le schéma classique – et institutionnel – de la production, les artistes s’épanouissent aussi dans le collectif.

Suite à l’émergence d’une génération de précurseurs, le paysage de la jongle s’est construit peu à peu autour d’écritures singulières.

La salle du Métaphone est la pièce maîtresse d’un vaste ensemble musical et patrimonial.

La nouvelle directrice de l’équipement savoyard porte un projet ambitieux que partageront trois artistes associés.

Au même titre que les budgets des théâtres et des collectivités, les perspectives de diffusion se sont encore resserrées. Les équipes artistiques, leurs chargés de diffusion ou tourneurs, doivent faire preuve de toujours plus d’ingéniosité pour entrer en relation avec le diffuseur, le convaincre, le fidéliser. Quels sont leurs méthodes et les écueils à éviter ? Comment détermine-t-on le «bon prix» d’un spectacle ? Quels sont les réseaux qui comptent dans les régions ? Les diffuseurs prennent-ils encore des risques ?

La Fédélima (Fédération des lieux de musiques actuelles) réunit la Fédurok et la FSJ, soit à ce jour 127 adhérents. Retour sur les projets de cette nouvelle fédération.

Espace de partage, de réflexion, de passage avant d’être lieu de spectacles, le Channel scène nationale s’est imposé comme quartier dans la ville.

Bien que relativement marginale dans le spectacle vivant, la pratique du droit de suite divise parmi les producteurs et les artistes.

Formée à l’École du CDN de Saint-Étienne (42), Samira Sedira a été comédienne avant de se retrouver brusquement sans contrat, en fin de droits, et de devenir femme de ménage. Dans L’Odeur des planches, son premier livre, elle témoigne de son parcours et de la précarité des artistes intermittents.

Les sénateurs ont largement modifié le texte de loi proposant le renforcement des métropoles, alors que des réflexions sont en cours au sujet des politiques culturelles inscrites dans ce cadre.