Quelques souvenirs d'une éducation littéraire
L’Appel des revues
L’Appel des revues
Vivre l’aventure des Cahiers de L’Herne (1960-1972)
Entretien avec Jacqueline de Roux
Les vingt ans d’ Art Présence
« Un art sans présence, c’est de la décoration. »
La Chronique de Paris, un rêve de francité nationale-socialiste
De novembre 1943 à juillet 1944 paraît en zone occupée La Chronique de Paris, une revue dirigée par Henry Jamet, et dont l’animateur principal est Robert Brasillach. Les principaux collaborateurs (Lucien Rebatet, André Fraigneau, Georges Blond) sont tous marqués par leur engagement fasciste d’avant-guerre et leurs prises de position collaborationnistes à partir de 1940. Tous sont connus pour leurs romans de grande qualité, régulièrement (re)publiés des années 1930 aux années 2010. À un moment où le vent semble avoir tourné pour le nazisme qui n’est plus sûr de remporter la victoire finale, la revue se propose de rassembler les forces intellectuelles et spirituelles autour de la permanence de la langue, du génie et de l’esprit classique français. À cette fin, les chroniqueurs rédigent de courts essais, publient des inédits et commentent la parution des livres nouveaux, redessinant de la sorte un champ culturel idéologiquement correct, au nom d’une culture européenne où l’Allemagne tient une place de choix, sur la base d’une dénonciation radicale des idées démocratiques et républicaines, communistes et vichystes, et plus que tout de la pensée juive. La présente étude s’interroge sur l’énigme des mécanismes idéologiques qui s’emparent d’esprits brillants et cultivés, d’analystes aigus et sensibles, pour les mettre au service d’un totalitarisme obscurantiste et raciste.
Les Rencontres poétiques à l’IMEC
Revue Socio : quelques questions à Michel Wievorka
Mikaël Lugan : un homme-amis
Cahiers Francis Jammes no 1, Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux, blog Les Féeries intérieures
Engagements et déchirements
Les intellectuels et la guerre d’Algérie