La fleur en Iran

Mahallât, capitale iranienne de la culture florale

par Sarah Mirdâmâdi

La ville de Mahallât est située dans le sud de la province de Markazi en Iran, à 262 km de Téhéran. Outre son statut de centre historique rassemblant de nombreux monuments notamment des forteresses, mosquées et caravansérails des différentes périodes historiques iraniennes, elle est également réputée au niveau national pour ses jardins et serres où sont cultivées de multiples variétés de fleurs.

La tulipe renversée

par Djamileh Zia

Chaque année au printemps, des milliers de touristes se rendent à Fârsân, dans la province de Tchahâr Mahâl va Bakhtiâri, pour admirer les tulipes renversées qui fleurissent dans cette région.

Le champ des tulipes renversées de Tchelguerd

par Khadidjeh Nâderi Beni

Dans la région de Kouhrang, à 12 kilomètres de Tchelguerd, l’une des principales attractions naturelles de la province de Tchahâr Mahal va Bakhtiâri est un vaste champ de tulipes renversées rouges et jaunes s’étendant sur plus de 3 400 hectares.

Le safran, une fleur du plateau iranien

par Djamileh Zia

La rose n’est pas la seule fleur que les Iraniens cultivent et utilisent en cuisine ; le safran, obtenu à partir d’une fleur du même nom, est un condiment utilisé depuis des millénaires en Iran pour sa couleur, son goût et pour ses propriétés thérapeutiques.

Les jardins historiques iraniens

par Mahnâz Rezaï

Les anciens jardins iraniens, de par leur valeur esthétique et architecturale, font partie du patrimoine national et sont considérés comme des marques de l’identité historique et culturelle iranienne.

Festival de la tulipe sur les pentes de l’Alborz

par Mireille Ferreira

Depuis onze ans, le festival de la tulipe, organisé par des horticulteurs locaux et la municipalité de Téhéran, a lieu chaque printemps pendant une semaine à Garmâb. Cette année, sa onzième édition a débuté le 15 Ordibehesht (5 mai).

La fleur dans la mystique persane à travers l’œuvre de Mowlânâ et de Hâfez

par Sarah Mirdâmâdi

La fleur occupe une place centrale dans l’ensemble de la littérature persane, notamment dans la littérature mystique comme l’attestent le titre de certains grands traités tels que le Golshan-e Râz (La Roseraie du Mystère) de Shabestari, ’Abhar al-’Asheqin (Le jasmin des Fidèles d’Amour) de Rouzbehân Baqli Shirâzi ou encore le célèbre Golestân (Jardin des roses) de Saadi.

La diversité des pratiques artisanales iraniennes

par Afsâneh Pourmazâheri, Farzâneh Pourmazâheri

On appelle arts traditionnels, l’ensemble des pratiques artistiques, authentiques et populaires des indigènes d’un pays. Ces arts proviennent des croyances, des traditions et des mœurs, bref de la culture intangible, d’une société.

L’histoire de la littérature persane

par Mahnâz Rezaï

Du début du Xe siècle jusqu’à la moitié du XIe siècle