Bons plan expos de l’été

La France compte plusieurs milliers de musées, centres d’art ou monuments historiques en tout genre. Comment choisir une halte culturelle parmi cette offre pléthorique ? S’appuyant sur son Palmarès des musées, devenu l’outil de référence de la profession, et sa connaissance des expositions les plus pertinentes, la rédaction de L’œil vous propose sa sélection, regroupée en cinq grandes régions. Pour chaque région, une carte géographique pour vous orienter facilement, un choix de lieux, un résumé et des articles pour les expositions à ne pas manquer. Des châteaux finistériens à la fondation Maeght, de la Piscine de Roubaix aux Abattoirs de Toulouse, laissez-vous embarquer pour un tour de France qui comblera vos attentes d’amateur d’art. Et si vous emportez un terminal Internet dans vos bagages, vous pourrez consulter sur www.artclair.com la méthodologie et tous les résultats de l’enquête, ainsi qu’un calendrier plus exhaustif des expositions.

L’impressionnisme made in… Normandie L’impressionnisme avant les impressionnistes Rouen, ville d’eau et d’impressionnisme Questions à… Jacques - Sylvain Klein

Jean-Noël Jeanneney est un professionnel des mots, mais l’image pourrait tout aussi bien être le fil conducteur d’une longue et riche carrière. Les Rencontres d’Arles ne s’y sont pas trompées en lui confiant la présidence de la manifestation.

Fille d’un inspecteur du travail et d’une enseignante, Francine Mariani-Ducray a le service public dans le sang. Elle mène depuis trente ans, avec discrétion, une carrière au service de l’État, option Culture renforcée.

Lorsque la jeune étudiante en histoire de l’art est entrée en stage à l’Espace d’art concret (EAC) de Mouans-Sartoux, elle ne se doutait pas que, vingt ans plus tard, elle y reviendrait pour en prendre la direction.

Entre galeristes, les associations sont rares et souvent éphémères. Le duo Philippe Ratton et Daniel Hourdé tient donc de l’exception : depuis vingt ans, les deux hommes concilient amitié et codirection d’une prestigieuse galerie d’art africain à Paris.

À douze ans, Pierrick Sorin bricole des petits films d’animation en super-huit. À quatorze, le garçon se met en scène sur une plage bretonne simulant son suicide.