Les violences sexuelles faites aux enfants

Ce mois-ci, le 10 octobre (ou 10/10) a lieu la journée des dys, l’occasion pour nous de faire le point sur ce que sont les différents troubles dys et sur la façon dont ils sont pris en compte au collège et au lycée. Selon la Haute autorité de santé (HAS), les troubles dys concerneraient entre 6 et 8 % des élèves pour chaque classe d’âge.

Si aujourd’hui on commence en France à se saisir du fléau que sont les violences sexuelles faites aux enfants et adolescent·e·s, notamment au sein de la famille (inceste), les actions de sensibilisation et la protection dont les enfants et adolescent·e·s victimes font l’objet sont encore largement insuffisantes. Il est nécessaire de briser ce tabou pour que les enfants et adolescent·e·s ne demeurent pas seul·e·s face à ces violences, qu’on ne leur impose plus le silence et qu’ils soient enfin entendus et reconnus.

La sortie du silence, le plus souvent à l’âge adulte, se fait fréquemment grâce à un annonciateur : une personne va mettre en mots les viols subis dans l’enfance, faisant prendre conscience à la victime que ce qu’elle a vécu est interdit par la loi. Le ou les actes ainsi nommés deviennent en quelque sorte réels socialement alors qu’ils avaient été niés et/ou tus durant toute l’enfance/adolescence de la victime.

Le 14 mai 1610, François Ravaillac tue le roi Henri IV. Cet assassinat a passionné les historiens et suscité les hypothèses les plus variées.

Biotope, écosystème, biocénose... autant de termes qui appartiennent au lexique du vivant. Mais qu’est-ce qui les distingue ? Que décrivent-ils ? Que regroupent-ils ?

Biotope, écosystème, biocénose... autant de termes qui appartiennent au lexique du vivant. Mais qu’est-ce qui les distingue ? Que décrivent-ils ? Que regroupent-ils ?

La sœur de Noah, Julia, est ravie, elle vient de décrocher son BAFA (brevet d’aptitude à la fonction d’animateur) et cerise sur le gâteau, elle a été retenue pour être animatrice dans une colo spécialisée dans les séjours « nature et sensibilisation à la protection de l’environnement ». Pile dans son créneau puisque, souvenez-vous, Julia milite au quotidien dans une asso de défense de l’environnement.

« Aime ton corps ! », « Vive la diversité des morphologies », « Stop aux diktats de la minceur »... tels pourraient être les slogans du mouvement body positive. Celui-ci milite en effet pour l’acceptation et la mise en valeur de tous les types de corps humains, grands, minces, gros, maigres, à la pilosité très ou pas du tout développée, à la carnation pigmentée ou non, à la peau lisse ou non... Un objectif louable de prime abord. Mais alors pourquoi ce mouvement rencontre-t-il aujourd’hui des détracteurs ?

Le changement climatique est une grave menace qui pèse sur l’humanité et ses conséquences affectent tous les aspects de la vie sur Terre. Si ses répercussions touchent toutes les zones du globe, elles ne sont pas pour autant uniformes. En effet, géographiquement parlant, certaines régions – principalement celles du Sud - sont plus concernées que d’autres. En 2022 par exemple, selon le rapport d’Oxfam « La faim dans un monde qui se réchauffe », l’Afghanistan et le Burkina Faso étaient dans le peloton de tête des pays les plus touchés. D’un point de vue social, ce phénomène frappe davantage les femmes et les filles, en particulier dans les pays en voie de développement (mais pas que). Cette situation s’explique par le fait que ces dernières représentent la majorité des personnes pauvres de la planète : sur 1,3 milliard de personnes vivant dans des conditions de pauvreté, 70 % sont des femmes (chiffres UNIFEM, 2008).

Connaissez-vous Threads, le réseau social créé par Meta et relié à Instagram ? Dès son lancement aux États-Unis en juillet 2023, 100 millions de personnes se sont inscrites sur cette plateforme (160 millions d’utilisateurs début 2024). Mais que propose-t-il ? Qu’apporte-t-il de nouveau ?