Mode : à contre-courant, ralentissons...

Cette expression désigne un mécanisme théorisé par l’historienne des sciences américaine Margaret W. Rossiter. Celle-ci a montré que nombre des recherches de femmes scientifiques avaient été minimisées, voire tues, au profit de leurs homologues masculins. Ce processus a pour conséquence de gommer de l’histoire des sciences les apports pourtant essentiels réalisés par les chercheuses.

On s’y fait poignarder, empoisonner ou étrangler, les enfants y sont sauvagement enlevés, les orphelins persécutés, les femmes emmurées vivantes... Mais que diable se passe-t-il sur cet effroyable boulevard, en plein cœur de Paris ? Noir, lever de rideau, les comédiens entrent en scène : bienvenue au théâtre !

Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), l’industrie textile emploie dans le monde plus de 60 millions de personnes, dont 80 % de femmes et 40 millions en Asie- Pacifique. Nombre des personnes qui travaillent dans ce secteur de la fast fashion touchent un salaire très bas et œuvrent dans des conditions de travail qui peuvent être dangereuses (manipulations de produits toxiques pour les teintures par exemple).

L’industrie textile est le 5e plus gros émetteur de gaz à effet de serre (GES) en Europe. Le secteur de la mode émettrait selon l'ADEME 1,2 milliard de tonnes de CO2, soit environ 2 % des émissions totales mondiales (plus que les émissions cumulées dues aux vols internationaux et au trafic maritime). Mais avec l’accroissement des achats, notamment avec les ventes en ligne, ce pourcentage pourrait passer à 26 % d’ici 2050. Entre 2005 et 2019 : le nombre de vêtements et chaussures achetés est passé de 74 milliards à plus de 130 milliards (Euromonitor International, Apparel and Footwear Industry, 2020).

Côté consommateurs, beaucoup s’interrogent et ont décidé d’adopter la slow fashion, c’est-à-dire un mode de consommation éthique et raisonné.

Le terme équitable vient d’équité, du latin aequitas, qui signifie « esprit de justice, égalité, juste proportion ». Appliqué au commerce, cet adjectif désigne le fait de traiter avec équité les producteurs et notamment de les rémunérer pour qu’ils puissent vivre correctement de leur travail. Vous avez sans doute déjà vu ces termes ou leur équivalent anglais fair trade sur des produits alimentaires comme le sucre ou le chocolat.

Noah vient d’effectuer sa rentrée scolaire et a découvert sa classe, ses profs... notamment son prof principal. Il a l’air assez ouvert et avec plusieurs de ses camarades de classe, il a pu échanger avec lui. Avec un prof principal impliqué, l’année s’annonce sous de bons auspices !

Depuis quelques années, les éoliennes font partie du paysage français. Grâce au vent, elles produisent de l’électricité, ce qui en fait un symbole de l’énergie verte. Pourtant quand, en mai 2021, la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili a affirmé vouloir développer l’éolien, des voix se sont élevées non contre l’écologie, mais contre les éoliennes elles-mêmes. Stéphane Bern a publié une tribune dans Le Figaro où il écrit : « Il est grand temps de dénoncer cette supercherie. L’énergie éolienne n’est en rien écologique et renouvelable. » Kezako mundi a enquêté sur le secteur controversé de l’éolien.

Nous avons interviewé Nathalie Koenders, adjointe au maire de Dijon, sur le thème de l’écologie. Elle nous livre son ressenti sur le sujet, ses gestes écolos au quotidien, mais également quelques-uns des projets de sa ville dans ce domaine.

Des pages Internet, il s’en crée de nouvelles toutes les secondes dans le monde. Le moteur de recherche de Google en recense par exemple 130 000 milliards ! Comment, face à cette multitude, notre moteur de recherche classe-t-il les pages pour déterminer celles qui conviendront le mieux à notre recherche ?