Cap sur les sports extrêmes

En décembre dernier, Sylvie et Emma ont créé la méthode de l’Orientation Agile®. Elles ont ainsi mis au service des ados leurs compétences, la première dans le domaine du numérique, la seconde dans l’accompagnement des jeunes dans leur orientation et la découverte des métiers. Elles ont lancé leur premier programme dans un collège avec des quatrièmes et nous en disent plus sur cette expérimentation innovante.

Bien que la catégorie des sports « extrêmes » constitue un peu un fourre-tout, des points communs animent les pratiquants, parmi lesquels la recherche d’adrénaline, de sensations fortes ou encore le besoin de maîtriser sa peur. À l’origine, ce terme désigne aussi les sportifs qui s’affranchissent des règles habituelles du sport et qui repoussent au maximum leurs limites. Prêts à plonger en chute libre dans cet univers qui flirte avec le danger ?

Le terme « extrême » pour qualifier un sport est aujourd’hui couramment employé. La dangerosité en compétition, dans certains sports, existe d’ailleurs depuis toujours, par exemple lors des joutes (duels à cheval et avec une lance) du Moyen Âge ou au pancrace dans l’Antiquité (combat à mains nues). Si on ne parlait pas alors de sport « extrême », la notion de dépassement de soi était déjà présente. Toutefois, il s’agissait avant tout de prouver sa valeur, son courage.

Les sports extrêmes sont très variés. Ils se pratiquent en tous types de milieux. Si certains ne nécessitent aucun matériel, d’autres en revanche impliquent un attirail complet : mousquetons, harnais, parachute, piolet... Mais qu’ils se pratiquent avec ou sans matériel, une constante existe : ces sports techniques exigent une très bonne préparation physique.

Francis Heaulme a sévi en France entre novembre 1984 et janvier 1992 (moment de son arrestation). Il a été reconnu coupable de onze meurtres et impliqué dans plusieurs affaires criminelles. Son errance et l’absence de mode opératoire l’ont toutefois rendu difficile à arrêter.

Pendant les vacances, Noah avait besoin de prendre un bol d’air, loin de la ville où il vit, du rythme effréné, de la pollution. Il a demandé à ses parents et à sa tante Claudia s’il pouvait passer quelques jours chez cette dernière. Celle-ci a accepté avec plaisir. Elle adore quand Noah lui rend visite parce qu’il est curieux de tout, s’intéresse à son métier d’agricultrice et lui donne même parfois de très bonnes idées pour améliorer ses pratiques.

La publicité est omniprésente dans notre quotidien. En 2007, le chercheur en neurosciences et neuromarketing Arnaud Pêtre estimait que chaque personne voyait en moyenne entre 1 200 et 2 200 messages publicitaires par jour. Et cela, c’était avant l’explosion des réseaux sociaux qui sont les nouveaux lieux de présence de la publicité.

Drôle de nom pour une théorie, vous dites-vous ? Ce n’est pas très sérieux ? Détrompez-vous, il s’agit d’une théorie économique on ne peut plus sérieuse conçue par l’économiste britannique Kate Raworth. Pourquoi un donut ? On vous en dit plus dans ces lignes...

En 2017, les femmes représentaient 14 % de l’effectif de la marine. Celle-ci souhaite davantage se féminiser pour augmenter de 50 % son effectif féminin d’ici 2030. Quelle est la place des femmes dans ce secteur encore très masculin ? Comment en viennent- elles à opter pour une carrière dans la marine ?