Parlons du racisme

Nous avons souvent un avis sur tout même lorsqu’on ne nous le demande pas. C’est l’une des facettes de notre liberté de pensée. Avoir un avis ne signifie pas forcément avoir raison, a fortiori lorsqu’il s’agit de questions importantes comme la gestation pour autrui (le terme « mère porteuse » apparaît désormais comme une expression relevant du langage familier) ou GPA. La GPA est en effet un sujet grave aux causes et aux incidences multiples. Face à de tels thèmes, difficile de trouver des solutions incontestables. Naissent alors des questions sans réponses créant d’autres questions elles-mêmes sans réponses ! Ces questions ont pour objectif d’ouvrir le débat afin que vous puissiez vous forger votre propre opinion.

Pour comprendre le monde, un individu a besoin de le simplifier. Nous avons donc tendance à regrouper les choses... et les individus.

Le racisme au sens strict peut être vu comme le rejet des membres d’un groupe ethnique. Il peut être biologique, c’est-à-dire fondé sur l’apparence physique des membres d’un groupe. Il peut aussi être culturel et ainsi avoir cours au sein même d’un groupe ethnique. Dans un sens plus large, il peut s’agir du rejet d’un groupe, qu’il soit national, professionnel, religieux...

Difficile de vivre ensemble en toute harmonie parce que nous pouvons avoir des idées différentes, des intérêts différents, certains se battent pour un même territoire, d’autres n’ont pas la même interprétation d'une religion...

Objet de confusions voire de méprises, la législation sur les stupéfiants (terme qui désigne toutes les drogues interdites) est pourtant un des moyens de mettre devant leurs responsabilités les trafiquants, les consommateurs ou encore les personnes faisant la promotion de tels produits. Cependant connaissons-nous le contenu de cette législation et les incidences en cas d’infraction ? Kezako vous propose de vous apporter quelques clés pour mieux comprendre les principaux aspects préventifs, répressifs (sanctions prévues par la loi) et sanitaires d’une législation récente, dense et complexe.

Des livres, des films et même des jeux vidéo ont été faits sur celui dont on ne connaît toujours pas l’identité, mais que l’on surnomme Jack the Ripper... Jack l’Éventreur ! Si ce tueur en série est devenu une sorte de mythe, ce n’est pas tant par le nombre de ses victimes que par son aura médiatique. Parce que ce Jack, non content d’avoir fait frémir l’Angleterre en 1888, savait déjà comment rester dans les mémoires. Pour cela, il a écrit lui-même aux journalistes et a même envoyé un rein qui appartiendrait à l’une de ses victimes, comme pour faire un pied de nez à Scotland Yard qui voyait le nombre de victimes augmenter sans avancer d’un iota sur l’affaire. © API/GAMMA

Saviez-vous que le mot « terrorisme » venait de la « Terreur », période au cours de laquelle certains révolutionnaires tenaient la population dans un état de terreur constant (entre 1792 et 1794). Une petite critique du régime, un mot de travers sur l’un de ses représentants, et hop, à la guillotine ! Aujourd’hui, le terrorisme a toujours un point commun avec cette origine historique puisqu’il consiste à faire pression sur l’opinion publique par la peur.

Si Don Juan n’est pas affublé que de qualités, il y a malgré tout dans ce personnage et ce nom devenu commun, l’idée d’un séducteur. Un séducteur qui, certes, trompe, ment et se joue des femmes, mais qui suscite malgré tout une certaine admiration.