La biodiversité peut-elle attendre ?

Vous avez plein de choses à partager. De nombreux sujets vous passionnent. Pourquoi ne pas les développer au sein d’un support qui pourrait être lu par tout votre lycée ?

Femme, étrangère, juive... Les obstacles ont été nombreux sur sa route mais Marie Curie n’a jamais abandonné, au point de devenir la première femme docteure en physique et d’obtenir deux prix Nobel. Pour elle, la science devait toujours servir l’humanité et être enseignée à tous.

On pourrait se dire : des espèces apparaissent, d’autres meurent, c’est le cycle de la vie. On pourrait se dire aussi : d’accord, nous avons abîmé des écosystèmes, mais il est toujours possible de les restaurer. On pourrait également penser que la planète est encore bien verte et les petites et grosses bêtes encore suffisamment nombreuses pour que ce chantier de la préservation de la biodiversité puisse attendre. Pourtant, il n’en est rien. Pourquoi ? On vous en dit plus dans ce dossier !

Parfois, nous apprenons de nos erreurs... Nos ancêtres proches avaient commis quelques erreurs, comme supprimer les haies pour gagner du terrain agricole. Aujourd’hui, on sait que ces forêts et haies ont un rôle essentiel : elles permettent de réduire le risque d’érosion, d’avalanches et de glissements de terrain, abritent des insectes, filtrent l’eau... Aussi en replante-t-on en de nombreux endroits.

Carole attend que la journée de travail se termine car elle a hâte de revoir son amie Estelle. Cela fait longtemps qu’elles ne se sont pas posées pour discuter, depuis qu’elle a rencontré Julien ! Et elle en a besoin parce que son quotidien est difficile. La vie avec Julien est loin d’être toujours rose...

Sous l’empire du Code Napoléon de 1804, les femmes sont considérées comme des mineurs. Elles doivent demander l’autorisation de leur mari pour toute démarche administrative : inscription à l’université, demande de papiers d’identité, ouverture d’un compte bancaire, signature d’un chèque, action en justice... Les choses évoluent (un peu) suite à la loi du 18 février 1938.

Dans une tribune publiée le 18 mars 2018 dans le journal Le Figaro, 124 signataires s’opposaient aux médecines dites alternatives, dont l’homéopathie. Le Conseil de l’Ordre des médecins a ensuite été saisi par le Syndicat national des médecins homéopathes français (SNMHF) qui a porté plainte contre les médecins ayant signé cette tribune. Qu’est-ce qui oppose ces médecins ?

Le dernier guillotiné de France