Addictions

Addictions

par Michaël La Chance

Drogue, création, conscience augmentée

Du chimique au virtuel

par Michaël La Chance

La science-fiction de l'esprit

Écriture, biologie, technologie

par Jacques Donguy

Vers une mémoire étendue

Malconsommation

par Marc-Antoine Mailloux

Usages, intoxication et inclusions d’une corporéité sociale

par Mélissa Correia

Un survol des pratiques d'art action des années soixante-dix

Hypothèses de désœuvrement

par Mélissa Correia

En 1996, au mois de mai, Francis Alÿs est invité dans la métropole de Copenhague (Danemark), dans le cadre d’une exposition collective. Il entend y poursuivre sa pratique de déambulations et autres pérégrinations afin de « faire usage » de sa propre constitution pour « programmer son errance » et tester sa résistance à toutes sortes de substances illicites. Alÿs réalise Narcotourismo, véritable exercice de désoeuvrement, dont le protocole est le suivant : Je marcherai dans la ville pendant sept jours, chaque jour sous l’influence d’une drogue différente. Mon périple sera enregistré à l’aide de photographies, de notes ou de tout autre médium qui paraîtra justifié.

L’artiste, la matière, l’idée

par Antigone Mouchtouris

Un itinéraire discursif et des pratiques

Sortilèges, drogues et contrôle des dommages

par André Stitt

Phénoménologie, pharmaceutique et catharsis dans mes performances de 1976 à 1992

Death of a hippie

par Richard Martel

Paul Thek, artiste de la côte ouest-américaine, est reconnu comme précurseur de l’installation. Il s’est d’abord fait connaître en exposant dans des boîtes en plexiglas des sculptures de cire figurant des morceaux de viande ou des parties du corps humain. The Tomb, une installation réalisée en 1967, présente une effigie pleine grandeur de lui-même (son cadavre simulé, langue visible, main coupée) étendue entouré de divers objets dans un caveau, une sorte de petite pyramide à degrés rappelant une ziggourat. L’installation a été présentée en 1967, à la Stable Gallery de New York, sous un éclairage rose et, en 1968, à l’Institute of Contemporary Art de Londres sous le titre Death of a Hippie.

Le dernier mitote

Tante Peyotle, Saint Peyotito, plante Dieu, plante Déesse, peyotl, peyote… Je t’ai déjà mangé, tu es déjà à l’intérieur de moi. Je te rencontre en dedans. Mes yeux sont fermés, mais il y a beaucoup de lumière à l’intérieur. Je continue d’avancer, mais je ne peux ni marcher ni voler : je glisse.

Antoine d’Agata

par Florence Andoka

Les règles de la drogue et la pratique de la photographie chez Antoine d'Agata

Le ventre de l’artiste gastro-performance

par Joël Hubaut

Le peuple du poème

par Serge Pey

Hallucinogènes, excréments et animaux particuliers

Plantes hallucinogènes

par Aymon de Lestrange

De l'usage de quelques plantes hallucinogènes chez les voyageurs, les écriavains, les artistes et les médecins

La période hippie de Witkacy

par Artur Tajber

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