Dossier infiltration

Les xénomorphes ont été trop longtemps stigmatisés comme des êtres violents et asociaux. C'est oublier un peu vite que, sous la carapace et derrière les mandibules, il y a aussi un petit cœur qui bat. Humains et extraterrestres ne pourraient-ils pas apprendre à mieux se connaître et, qui sait, s'enrichir de leurs différences ?

Dire que les déclarations relatives au jeu vidéo de Nadine Morano n’ont laissé personne indifférent sur la planète vidéo ludique tiendrait d’un doux euphémisme. On parlerait plutôt de petits tremblements de terre, tant ses remarques sur la teneur potentiellement dangereuse des jeux et les moyens de s’en prémunir ont fait débat. Mais au fond, à l’exception de quelques mots, connaît-on vraiment la vision de cette (forte) personnalité politique sur le jeu vidéo ? Des positions que la Secrétaire d’Etat Chargée de la Famille et de la Solidarité a bien voulu nous expliquer à travers cette entrevue.

Sur tous les continents, des centaines de milliers de joueurs-citoyens font vivre des républiques virtuelles qui prospèrent sur internet. Grâce à son jeu par navigateur, le studio Republik Labs a inventé le MMOGPG : « Massive Multiplayer Online Geopolitical Game ».

Quand on parle de jeux d’infiltration, les univers de Metal Gear Solid et de Tom Clancy’s Splinter Cell viennent à l’esprit. Pourtant le genre est loin de se limiter à ces deux piliers… Ni même à la figure de l’espion ou du militaire high-tech. Une petite visite guidée s’impose donc. Attention, la tenue camouflage est de rigueur !

En France, on n’a pas d’argent, mais on a des idées… Surtout quand on est une PME. Après la saturation des marchés DS et Wii puis la ruée en masse vers l’App Store, les développeurs indépendants tentent de trouver des débouchés en ligne. Jeux pour navigateur, titres sur Facebook, dématérialisation et petits formats sont de rigueur.

L’une des principales différences entre Metal Gear Solid et Splinter Cell se situe au niveau du design des personnages : photoréaliste d’un côté, plus stylisé de l’autre. L’identité graphique très prononcée de la série d’Hideo Kojima est assurée par Yoji Shinkawa, directeur artistique et designer depuis 1998. Influences, techniques et style sont détaillés dans ce court portrait.