Contes et Pop culture

Pour cette rubrique dédiée à la création des scènes et films culte de l’histoire du cinéma, nous revenons sur le mariage de l’animation et des prises de vues réelles.

Elle nous avait bluffés en interprétant une douzaine de clones aux personnalités différentes dans l’excellente série SF Orphan Black. La revoici, toujours aussi épatante, dans le rôle à géométrie variable de She-Hulk : Avocate.

Il a été le légendaire Hercule, l’audacieux sauveteur de San Andreas, l’avatar survitaminé de la saga Jumanji, et le capitaine au destin surnaturel de Jungle Cruise. Il ne lui manquait qu’un super-héros ténébreux pour compléter sa collection d’aventuriers champions du boxoffice. Cette fois, Dwayne Johnson endosse le costume d’une icône de son enfance dans Black Adam, à découvrir le 19 octobre en salles.

Les contes, on le sait bien aujourd’hui, sont porteurs de sens cachés, à la limite de la conscience, qui nous aident à évoluer sur un plan symbolique. Plus encore, ils matérialisent une forme de sagesse globale de la société humaine, un rappel constant que la culture populaire porte en elle le projet de nous faire du bien au-delà de la simple distraction. C’est d’au- tant plus vrai pour ce que nous considérons comme des « grandes œuvres », mais c’est peut-être encore plus intéressant de constater que même les plus « petites » portent leur part de ce projet global, de cette culture qui appartient à tous et à toutes, et dont les auteurs ne sont que des véhicules plus ou moins consentants. Bienvenue dans un voyage qui nous conduira aux racines pro- fondes de notre geekitude, là où tout se mélange, du rire à la gravité, de la légèreté à la profondeur, et surtout du commun jusqu’à l’extraordinaire !

Le blockbuster de la rentrée marque un changement de stratégie chez DC : les super-héros moins connus de sa mythologie sont traités comme des stars.

Inspirée de situations de la Seconde Guerre mondiale, Andor décrit les choix et les actions de nombreux personnages pendant la montée en puissance de l’Empire... Et c’est passionnant !

Un héros bossu capable de se transformer en Apollon lumineux ça vous dit quelque chose ? Si la réponse est positive, il y a fort à parier que vous faites partie de la génération LUG, la légendaire maison d’édition lyonnaise qui fit rêver toute une ribambelle de geeks in progress avec ses parutions de super-héros Marvel. Parmi eux s’était immiscé Photonik, un super-héros français ressuscité par deux enfants de l’atome, Luc Brunschwig et Stéphane Perger.

Financée avec succès il y a quelques années maintenant, la tétralogie Dragons est désormais disponible, et le moins qu’on puisse dire, c’est que l’attente en valait la peine ! L’ensemble forme un tout cohérent et absolument magnifique. Le Studio Agate a fait un travail de création formidable et chaque volume est un indispensable pour les amateurs de fantasy. Certainement ce qui s’est fait de mieux côté donjon ces derniers temps mais aussi côté imaginaire, tout simplement. Le monde d’Eana est une vraie réussite et ça tombe bien, l’aventure ne fait que commencer, et d’autres titres sont déjà en préparation... ©STUDIO AGATE

Neuf ans après un quatrième opus tapageur, Saints Row revient sous une forme peut-être plus sage, mais seulement en apparence. Car même s’il est certain que l’intrigue de ce nouveau jeu reste plus raisonnable et terre-à-terre, la célèbre licence de jeu criminel à monde ouvert continue de s’émanciper de ses influences GTA-esque, sans jamais hésiter à verser dans le gonzo bling-bling le plus total. Une bonne façon de se remémorer le bon vieux temps ?