Jazz Transatlantique

La vodka made in France

Une chambre en ville

USA vs France

Une histoire transatlantique

Une centaine d’illustrateurs ont dessiné leur vision de Paris, un clin d’oeil aux Unes du célèbre New Yorker. Exposés à la Cité internationale des Arts de Paris l’an dernier, leurs dessins sont réunis dans un beau livre, The Parisianer. France-Amérique vous offre un portfolio des plus belles couvertures, libre à vous de les afficher au mur !

Son nom fait surgir des images grandioses : le Nautilus, un canon qui pointe vers la lune, un calamar géant, des créations fantastiques et volantes comme L’Albatros et l’Épouvante. L’écrivain Jules Verne, dénigré en son temps par l’Académie française, moqué parce qu’auteur de romans-feuilletons, et méprisé par Émile Zola — « ses romans n’ont aucune importance dans le mouvement littéraire actuel » — est l’auteur de deux cents ouvrages, nouvelles, poèmes, essais, pièces de théâtre, livrets d'opérettes et d'opéras-comiques. Il est aujourd’hui l’un des écrivains les plus traduits au monde. Considéré comme un des pères spirituels de la science-fiction (avant 1926, on parle plutôt de « merveilleux scientifique »), il a inspiré la création du genre steampunk (ou « rétrofuturiste ») au XXe siècle, et continue de fasciner les nouvelles générations de lecteurs, d’auteurs et de cinéphiles.

Né en 1919 à Rodez, dans les environs de l’abbaye de Conques (Aveyron), Pierre Soulages est associé depuis la fin des années 1940 à l’art abstrait. Mondialement connu pour son usage des reflets de la couleur noire, qu’il appelle « noir-lumière » ou « outre-noir », l’artiste peintre s’est pris de passion pour l’abbatiale Sainte-Foy de Conques, le premier émerveillement esthétiques de l’artiste, située au coeur d’un village médiéval, sur la route de Compostelle. « On ne se rend pas compte à quel point tout ce que je fais est lié à mes vitraux de Conques », confiait ainsi Pierre Soulages en 1996.

Tribute to David Hockney par Pascale Blondeau

« Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde. » En écrivant cette phrase, Albert Camus ne pensait évidemment pas aux institutions politiques. Dans ce domaine comme dans celui de la philosophie, pourtant, chaque terme exprime une réalité précise. Même si, pour décrire cette dernière, on peut aussi donner de nouvelles significations à certains mots.