Tout juste rentré de vacances et vous avez envie de repartir ? Pour profiter encore un peu de la dolce vita estivale, rendez-vous dans le quartier le plus méridional de la ville : le Vieux Lyon. Si vous avez l’habitude de fuir ses ruelles encombrées de touristes et ses bouchons de mauvaise qualité, sachez qu’il existe encore dans ce quartier aux couleurs de l’Italie des adresses préservées, loin de l’agitation.
Le guide des sorties de la rentrée
Le Vieux Lyon sans touriste
Free jazz au bounty
Es questions le plus souvent posées à un chroniqueur gastronomique sont « comment fais-tu pour ne pas être (encore) plus gros en allant tout le temps au restaurant ? » et « est-ce que tu as découvert une nouvelle adresse d’enfer, je dois inviter ma copine/ mon copain au resto ? ».
Le Lyon Street Food Festival
Comment s’habiller pour aller voir Rachid Taha
Une Biennale complètement givrée !
Finie la canicule : la Biennale de la danse s’annonce engagée, particulièrement tournée vers les nouvelles technologies, voire expérimentale ou totalement givrée, à l’image de la compagnie flamande Peeping Tom, aussi drôle que grinçante, qui confie sa dernière création cette année au ballet de l’Opéra de Lyon (photo).
Le concert du mois - Divin Diwân
Baroque - Le Triomphe du Roi René
C'est le plus grand chef baroque d’aujourd’hui. Il a révélé la plupart des opéras de Haendel à commencer par sa version pionnière de Jules César. Avant Rinaldo puis une version d’anthologie d’Agrippina, renouvelant totalement l’approche du troisième acte avec le travail de recherche musicologique qui le caractérise. On l’avait quitté avec Les Noces de Figaro de Mozart au début de l’été à Beaune, le revoici à Ambronay avec une oeuvre pionnière Il Trionfo del tempo e del disinganno (Le Triomphe du temps et de la désillusion), la toute première oeuvre italienne de Haendel en 1707.
Les 5 concerts à ne pas rater au Festival d’Ambronay
Confidence pour confidence
On l'avait quitté avant l'été en Don Ottavio, rival au petit pied de Don Giovanni dans une production grande classe à l'Opéra de Lyon. C'est avec ce même orchestre que Julien Behr avait enregistré l'an passé son premier disque de récital en solo.
Vertiges de l’amour
C'est un spectacle précieux qu’on a vu naître sur la petite scène de L’Élysée à la Guillotière, avant d’être repris au TNP (déjà) la saison passée, puis au festival d’Avignon cet été. L’auteur est à peu près inconnu : Ivan Viripaev, quadra russe contemporain.
Le bel esprit nippon
On avait déjà beaucoup aimé Wilder Mann, la série photographique étrange et poétique de Charles Fréger. Faisant le tour des mascarades et autres rituels qui se jouent encore en Europe en hiver, le photographe qui s’est fait une spécialité du portrait, surtout en uniforme, sortait du studio pour faire poser ses sujets costumés en pleine nature.
Appelez la Georges
Les Journées européennes du patrimoine se déclinent cette année autour du « goût ». L'occasion de revenir sur la petite histoire du plus grand bâtiment de Lyon qui fait « bonne bière et bonne chère depuis 1836 » : la brasserie Georges.
Petite salle et grand acteur
C'est sans doute la dernière fois que vous pourrez le voir dans une salle aussi petite (par la taille) que l’espace Gerson. À force de poser dans les piscines entouré de garçons dénudés pendant l’été — et surtout d’avoir fait le festival d’Avignon et une tournée digne de Roumanoff — Jean-Rémi Chaize a été repéré par un producteur qui va le conduire tout droit vers d’autres cieux artistiques.