En solo
The User
Virginie Laganière
Après tout Internet, trois figures
La « fin » de l’art numérique
Zipertatou
Se faire un monde. La fantaisie nécessaire
Quelques épisodes dans la vie de l’avenir
J’aimerais profiter de cette tribune sur les arts numériques à Montréal pour vous relater quelques épisodes de la vie locale de l’avenir. Je suis venu au monde dans les années soixante-dix et Montréal m’apparaît, avec un certain recul, comme une ville de science-fiction vécue.
La photographie avalée par le numérique
Je suis un peu embarrassé d’être présenté comme un spécialiste de l’art numérique. Je n’ai pas l’impression de l’être. Je me suis surtout intéressé à la photographie et à la vidéographie, aux installations aussi. Mais j’ai cru bon d’accepter l’invitation lancée par Isabelle Lelarge parce que je croyais pouvoir apporter quelque chose. J’ai vu, après tout, la photographie être tout à la fois rehaussée, dérangée et bouleversée par l’intrusion numérique. Je suis ici en fait parce que j’ai été agacé par l’espèce de frénésie critique autour du numérique et que cela m’a porté à la réflexion sur cette réalité. J’ai voulu mesurer l’impact de l’arrivée du numérique.
Description d’un ensemble infini de dessins
La révolution numérique n’a pas eu lieu dans les années 1990. Elle s’est produite trente ans plus tôt, dans les expériences esthétiques de plusieurs artistes, dont certains ont présenté publiquement leurs travaux à l’occasion de trois expositions organisées au cours de l’année 1965.
Jean-Pierre Aubé
Jean-Pierre Aubé vient de terminer une période intense de travail, alors qu’il a présenté ses oeuvres dans trois contextes différents. Après avoir participé à la Biennale de Venise, il a poursuivi son périple italien en exposant ses travaux récents dans une galerie romaine, pour terminer avec une exposition solo au Centre Expression de St-Hyacinthe.
Festivals Elektra, Bias
Remix en vases communicants
Festival de vidéomusique de Montréal 2015
Espace Notre-Dame
Atopolis
La ville aux inclassables
Aude Moreau
La nuit politique
Projections collectives et politique du lieu
Fredric Jameson conclut son essai, paru récemment dans New Left Review, en déclarant que les luttes politiques contemporaines portent essentiellement sur le territoire. Il fait valoir que les artistes sont de plus en plus intéressés par l’espace, plutôt que par le temps, ce qui conduit à une perte d’historicité, chose regrettable, mais aussi à un renforcement de l’action collective tournée vers la terre, l’immobilier et la propriété privée. À l’époque actuelle, celle du capitalisme mondial, l’urgence de cette lutte est profondément ressentie et elle s’exprime sous une multitude de formes.
Adam Basanta
The Sound of Empty Space
Manon Labrecque
L'origine d'un mouvement