Curiosity

Un petit télescope plutôt grand

La Chine a réalisé au mois de juin dernier son quatrième vol spatial habité. Il s’agissait de répéter la mission précédente mais, cette fois-ci, avec des taïkonautes.

Un atterrissage extraordinaire

«Les scientifiques sont les conducteurs du rover»

Les heures, communiquées par le JPL, sont données en Temps Universel (méridien de Greenwich) au moment de l’événement sur Mars.

Ingénieur au Jet Propulsion Laboratory, Devin Kipp a plus particulièrement travaillé sur la mise au point du parachute de Curiosity. Un défi relevé grâce aux données d’un test accompli voici plus de trois décennies !

«Le Sky Crane est si novateur que nous n’avons pas pu le tester en intégralité»

Les institutions européennes sont désormais de plus en plus impliquées dans le financement des activités spatiales, notamment pour les constellations de satellites de navigation (Galileo) ou de surveillance de la Terre (GMES). Des programmes confrontés aux difficultés budgétaires du «vieux continent».

L’Iran (78 millions d’habitants) entend s’affirmer comme la grande puissance du monde musulman, comme le montre le nouveau centre spatial en voie d’achèvement, baptisé Imam Khomeini Space Center. On pense qu’il serait implanté dans le sud du pays, sur la côte bordant l’océan Indien. Dès 2013, il doit être mis à disposition des nations islamiques pour le lancement de leurs satellites !

En 1998, à quelques mois d’intervalle, deux films américains mêlant science-fiction et catastrophe sont sortis : Deep Impact et Armageddon. Le point de départ du scénario est proche : un corps céleste menace de s’écraser sur la Terre, mais le traitement de l’histoire est assez différent.

Bien que consacré à la fois à l’aéronautique et au spatial, grâce à ses 85.000 m2 d’expositions, le célèbre musée en deux parties de la capitale fédérale des États-Unis offre suffisamment de place à l’astronautique pour s’imposer telle une destination incontournable.

«L’important c’est l’énergie, sans énergie, on n’a rien !» Ce dialogue issu du film Apollo 13 reflète bien la réalité auquel est confronté tout engin spatial, ses instruments, ses systèmes et à défaut son équipage : à savoir la production d’énergie électrique nécessaire à son bon fonctionnement.