Climat : qui va payer ?

Les remèdes énergiques sont les pires Pourquoi il faut agir plus vite et plus fort Plaidoyer pour un impôt carbone intelligent Christian Gollier : « Que sommes-nous prêts à sacrifier?? »

Nous sommes entrés dans l’ère de la post-démocratie. Les problèmes majeurs sont désormais supranationaux. Or, la démocratie n’est guère transposable au-delà de l’échelon national. Le pouvoir appartient de plus en plus à des élites qui agissent en roue libre.

Longtemps considéré comme rétrograde, le moine-peintre, plus peintre que moine, apparaît désormais sous un jour nouveau : celui d’un homme bien de son temps.

Quoi qu’on en dise, le président Ahmadinejad n’est pas maître du jeu à Téhéran. Mi-théocratie, mi-démocratie, la République islamique est un régime indéfinissable, d’abord dominé par ses luttes internes.

Comment un petit Tibétain élevé dans la plus pure tradition et le plus complet isolement est devenu un missionnaire de la modernité et l’une des personnalités les plus populaires au monde.

Entre pragmatisme et messianisme, talent médiatique et autoparodie, le président populiste du Venezuela divise. Portrait d’un homme qui s’analyse d’abord comme un héros de telenovela.

Rédigé à la demande de Vladimir Poutine, un nouveau manuel veut inculquer aux enfants une vision positive de leur histoire. En effaçant les vérités qui dérangent.

Un nouveau manuel d’histoire de la première moitié du XXe siècle est annoncé, dont les grandes lignes sont déjà publiques. Les crimes de masse de la période stalinienne y sont justifiés par la « nécessité historique

Juillet 1996. Sally a 15 ans. Au détour d’un square, elle est frappée par la folie comme on est frappé par la foudre. Dans un livre bouleversant, son père raconte le début de leur vie avec la psychose.

Les personnages de Loay Abdel-Elah vivent à Londres mais rêvent de Bagdad, enfer sur terre. Un roman irakien fait d’histoires enchevêtrées, pour mieux raconter la déchirure de l’exil.

Hors norme, la musique de Jimi Hendrix a incarné jusqu’à l’incandescence les révoltes de 1968, scellant symboliquement la fin d’une époque.

Le crédit du grand écrivain est entamé, dans son pays, par ses sympathies prolongées pour la gauche autoritaire. Talent littéraire et aveuglement politique font parfois bon ménage.

L’accord passé par Google avec les auteurs et les éditeurs américains pourrait lui assurer le contrôle de l’accès à la plupart des livres.