Artiste allemande diplômée en 2016 de la prestigieuse Kunsthochschule für Medien (KHM) de Cologne, Alisa Berger est née en 1987 à Makhatchkala (Daguestan), a grandi à Lviv (Ukraine) puis à Essen (Allemagne). Son oeuvre se développe entre le cinéma, la vidéo, l’installation et la performance, et joue autant de références historiques que d’anecdotes personnelles, pour raconter des histoires absurdes, incroyables et poétiques.
Paris Photo
Alisa Berger
François Hébel, Agnès Sire
La Fondation HCB, acte 2
Łódź
Après avoir montré les avantgardes de Vitebsk, le Centre Pompidou ouvre, le 24 octobre (jusqu’au 24 janvier), une exposition titrée Une avant-garde polonaise - Katarzyna Kobro et Władysław Strzemiński. L’occasion de découvrir deux figures essentielles de l’histoire de l’art, fondatrices du groupe a.r. et de la collection qui deviendra le coeur du musée d’art moderne de Łódź, en Pologne, dès 1931. Il s’agit aussi de mieux comprendre une ville et sa culture. Décédés au début des années 1950, Kobro et Strzemiński continuent d’inspirer les artistes polonais contemporains. Utilisant désormais deux lieux — le MS1 dans le palais d’un riche industriel et le MS2 dans une vaste usine rénovée —, le Muzeum Sztuki de Łódź est probablement l’un des musées les plus fascinants en Europe de l’Est. L’exposition du Centre Pompidou se concentre sur les deux fondateurs en lien avec quelques-uns de leurs contemporains présents dans la collection du musée polonais (Arp, Hélion, Hiller, Léger ou Schwitters), mais elle ne remplacera pas une visite à Łódź, à la rencontre des artistes des années 1970, de son école de cinéma et de ses belles architectures.
Dans la forêt
Abdul Rahman Katanani
Les galeries entre engagements et pragmatisme
Dans le cadre d’une collection d’ouvrages publiée à l’initiative du Comité professionnel des galeries d’art, Catherine Francblin publie une biographie de Jean Fournier qui fut, de 1954 à 2006, le galeriste de Simon Hantaï, Joan Mitchell, Sam Francis, Shirley Jaffe, Claude Viallat, Pierre Buraglio, notamment. À cette occasion et à quelques jours de l’ouverture de la Fiac (18-21 octobre), nous avons souhaité réunir des galeristes parisiens pour les interroger sur leur métier et leur engagement dans le contexte bien différent d’aujourd’hui. Et parce que les artistes ont leur mot à dire sur la question, nous avons aussi invité l’un d’eux: Fabrice Hyber.
Chargesheimer
Voir plus et autrement
Mao Ishikawa
Les soldats, les femmes, la vie
Lorenzo Vitturi
Mutation
Yo-Yo Gonthier
Des ânes et des lions
Silvano Reggiardo
Sans titre n°8
Jean-Yves Jouannais
Assiéger la guerre